Les personnes vaccinées à l’aide de la technologie du « vaccin » à ARNm sont-elles des organismes génétiquement modifiés ? Pourquoi ce vaccin peut-il se propager jusque dans le lait maternel ? Et pourquoi la contamination de l’ADN de ces vaccins peut-elle entraîner des cancers d’un type nouveau, voire des turbo-cancers ? Découvrez dans cette émission pourquoi la technologie des « vaccins » à base d’ARNm est dangereuse pour l’homme !
Les personnes vaccinées à l’aide de la technologie du \« vaccin \» à ARNm sont-elles des organismes génétiquement modifiés ? Pourquoi ce vaccin peut-il se propager jusque dans le lait maternel ? Et pourquoi la contamination de l’ADN de ces vaccins peut-elle entraîner des cancers d’un type nouveau, voire un turbo-cancer ?
Restez à l’écoute et découvrez dans l’émission suivante pourquoi la technologie des \« vaccins \» à base d’ARNm est dangereuse pour l’homme !
En 2019, dans le cadre de la pandémie de Covid, une nouvelle technologie vaccinale a été utilisée pour la première fois sur l’homme, la technologie du vaccin ARNm. A l’époque, les médecins avaient déjà mis en garde contre le fait que cette nouvelle technique serait utilisée sur le terrain pour tester l’ensemble de l’humanité, sans qu’aucune étude scientifique sérieuse n’ait été menée au préalable sur ses conséquences !
Aujourd’hui, près de quatre ans après l’introduction de cette technologie vaccinale, presque toutes les craintes concernant les conséquences de cette technologie à ARNm se sont malheureusement avérées fondées. Le professeur Klaus Steger, biologiste moléculaire, et le professeur Alexandra Henrion-Caude, spécialiste de l’ARN et de l’épigénétique [afficher svp = domaine de la biologie sur l’activation des gènes au moyen d’enzymes], ont résumé les derniers résultats de la recherche sur la technologie des vaccins à ARNm dans un dépliant. Il s’intitule : La technologie du \« vaccin \» à base d’ARNm : Le jeu est terminé !
Avant de vous en donner un bref aperçu, quelques explications terminologiques s’imposent.
De nos jours, la vaccination ARNmessager-Covid n’est plus considérée comme une vaccination, mais comme une technologie de vaccin à base de ARNmod utilisée chez l’homme. ARNMod, parce qu’il s’agit d’ARNm fabriqué artificiellement, qui ne doit pas être comparé à l’ARNm humain dans le corps.
Selon le Pr. Ulrike Kämmerer, biologiste, le vaccin Covid ne peut pas non plus être qualifié de vaccination. Elle a déclaré à ce sujet dans une interview :
[Voix parlée] \« Ce n’est pas un vaccin dans le sens où on l’entend, c’est du génie génétique. Il ne s’agit pas non plus d’une thérapie génétique, car il n’y a pas de thérapie, mais du génie génétique. C’est une application du génie génétique et alors que dans un vrai vaccin, on injecte soit un agent pathogène tué, soit une structure, c’est-à-dire une protéine d’un agent pathogène, on a une quantité définie qui ne peut plus se reproduire dans le corps et qui est dégradée à un moment donné et il ne reste alors pratiquement plus que la réponse immunitaire. Mais maintenant, on force les cellules de l’homme à agir elles-mêmes comme ces bactéries ferment, c’est-à-dire à fabriquer d’abord les vaccins proprement dits, sans savoir quelle est l’efficacité de ce processus, combien de temps il dure, s’il dure peut-être toute la vie, s’il s’intègre dans le noyau cellulaire. Cela signifie que tous ceux qui reçoivent ces injections, y compris les futurs vaccins, sont d’abord des organismes génétiquement modifiés involontaires. \»
Voici un bref résumé des résultats de ces études.
La technologie ARNm sous forme de vaccins peut entraîner les effets suivants chez l’homme :
– Des inflammations chroniques dans chaque organe du corps, par exemple des inflammations du muscle cardiaque et du péricarde.
– L’ARNmod peut s’intégrer dans l’ADN des cellules humaines. Si cela se produit dans des cellules germinales masculines ou féminines, le génome [= patrimoine génétique] des générations futures sera modifié.
– La technologie des vaccins à ARNmod ou l’intégration de l’ARNmod dans les cellules de l’organisme peut provoquer des cancers d’un type nouveau et, chez les personnes déjà atteintes d’un cancer, un turbo-cancer !
Kla.TV a ensuite résumé quelques points du dépliant et les reproduit sous forme abrégée. Le dépliant complet se trouve sous l’émission en allemand et en anglais dans l’encadré bleu.
1. On vous dit : \« C’est un vaccin \», mais ce n’est pas vrai.
Il ne s’agit pas d’un « vaccin », car il remplit tous les critères d’un produit fabriqué par génie génétique. Il contient des ARNm modifiés de synthèse, les ARNmod, qui sont emballés dans des nanoparticules lipidiques qui les transportent dans nos cellules.
2. On vous dit : \« C’est de l’ARNmessager \», mais ce n’est pas vrai.
Il ne s’agit pas d’ARNmessager, mais d’un ARNm modifié, le ARNmod. Ce ARNmod synthétique imite certes l’ARNm naturel, mais il a des propriétés totalement différentes :
– Contrairement à l’ARNm naturel, qui se dégrade rapidement, l’ARNmod du \« vaccin \» Covid-19 a été détecté jusqu’à 28 jours dans le sang et jusqu’à huit semaines dans les tissus. Il a été démontré que la protéine spike produite par l’ARNmod injecté circule dans le sang jusqu’à six mois.
– De l’ADN est également présent dans les vaccins, et ce de manière tout à fait inattendue. De grandes quantités d’impuretés d’ADN ont été trouvées dans des lots de vaccins, dont les effets sont inquiétants dans l’état actuel de nos connaissances scientifiques. Ils peuvent représenter une altération de la régulation des gènes [= contrôle de l’activité des gènes] et un risque d’intégration dans notre génome [= patrimoine génétique].
3. On vous dit : \« Le vaccin reste dans votre muscle \», mais ce n’est pas vrai.
– Le \« vaccin\ » n’a jamais été conçu pour rester dans le muscle, mais pour passer dans la circulation sanguine, les ganglions lymphatiques et même dans le lait maternel.
– Contrairement aux particules des vaccins traditionnels, les nanoparticules lipidiques contenant l’ARNmod ne restent pas dans la circulation sanguine. Au lieu de cela, elles peuvent en principe pénétrer dans chaque cellule de notre corps, y compris les organes vitaux comme le cœur, le cerveau, le foie, les reins, les poumons, la rate, l’estomac, les ovaires et les testicules.
– Les nanoparticules lipidiques sont fortement inflammatoires et toxiques. Des injections répétées renforcent donc les dommages causés à nos cellules et peuvent même entraîner une mort cellulaire prématurée.
– Les effets secondaires graves et fréquents sont la myocardite et la péricardite, c’est-à-dire l’inflammation du cœur, en particulier chez les personnes jeunes. L’inflammation résulte probablement d’une attaque auto-immune contre les cellules du cœur qui ont absorbé les particules injectées et ont exprimé [= montré à la surface des cellules] la protéine spike.
5. On vous dit : \« l’ARNm ne peut pas être intégré à l’ADN \», mais ce n’est pas vrai.
– L’ARNmod du \« vaccin \» peut être intégré dans l’ADN, car une séquence partielle de celui-ci a été trouvée dans les cellules sanguines de patients.
– Les contaminations d’ADN trouvées dans les injections d’ARNmod de BioNTech/Pfizer contiennent une séquence de virus de singe composée de la séquence promotrice du virus simien 40 (SV40) [= composant d’un gène qui régule sa formation], connue pour favoriser le transport d’ADN dans le noyau cellulaire. Cela augmente le risque d’intégration de cet ADN étranger dans le génome [= patrimoine génétique] de nos cellules, avec des conséquences imprévisibles.
– Si l’un de ces événements se produit dans les cellules germinales mâles ou femelles impliquées dans la fécondation, cela modifiera également le génome humain de la descendance.
– Toute intégration génomique d’une séquence provenant d’un \« vaccin \» conduira probablement à l’expression [= formation] d’un gène étranger et à une régulation anormale des gènes. Ceci peut conduire à l’activation d’oncogènes [= gène du cancer] ou à l’inactivation de gènes suppresseurs de tumeurs [= gènes du patrimoine génétique de la cellule à partir desquels sont codées des protéines qui empêchent le cancer], ce qui favorise dans les deux cas le cancer. Ce risque est aggravé par l’immunosuppression observée chez de nombreux \« vaccinés \», qui implique une défense immunitaire insuffisante contre les cellules tumorales. Le résultat peut être un \« turbo-cancer \».
Mesdames et Messieurs, les résultats de la recherche scientifique sur la technologie des vaccins à ARNm, qui font l’objet du dépliant, sont accessibles dans le monde entier et peuvent être consultés sur Internet. Mais les autorités d’homologation et les principaux médias ne sont pas prêts à les mettre à jour ! Utilisez donc les contacts de votre entourage personnel et diffusez le plus largement possible cette mise en garde contre la technologie des vaccins basés sur l’ARNm !
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Vidéo du Dr Kämmerer : De l’ADN étranger dans les vaccins Covid?
https://www.youtube.com/watch?v=jCtmAe3DSwg
La technologie « vaccinale » à base d’ARNm : le jeu est terminé !https://www.mwgfd.org/2024/02/die-mrna-basierte-impfstoff-technologie-game-over/
Turbo cancer dû au vaccin Covid ? Dr. Ute Krüger & Miriam Reichel
https://www.mwgfd.org/2022/02/turbokrebs-durch-c-impfung-dr-med-ute-krueger-miriam-reichel/
https://www.youtube.com/watch?v=TdgyeaJO5g4
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