Le dernier projet d’amendements de l’OMS au Règlement sanitaire international contient toujours des références au pouvoir contre la « désinformation » et aux passeports vaccinaux

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Les propositions, malgré les amendements, contiennent toujours des termes controversés qui, selon certains, pourraient conduire à une prise de pouvoir.

Par Didi Ranković

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) de l’ONU travaille dans une relative obscurité depuis des décennies, mais c’est la pandémie qui l’a vraiment mise sur le devant de la scène.

L’ONU et divers gouvernements diraient sans aucun doute qu’elle a parfaitement joué son rôle, et les critiques pourraient faire de même – mais ils seront en désaccord avec véhémence sur ce qu’était ce rôle et ce qu’il est censé continuer d’être.

L’OMS est-elle un promoteur international bienveillant de la santé et de la sécurité, en particulier lorsqu’il s’agit des catégories de population les plus vulnérables dans le monde ? Ou s’agit-il d’un autre groupe mondialiste déterminé à une sérieuse « prise de pouvoir » – privant les autorités nationales de leur capacité d’action dans ce secteur particulièrement sensible ?

Certaines actions, telles qu’un certain nombre de dispositions contenues dans l’effort visant à modifier le Règlement sanitaire international (RSI) de 2005 , ont fait réfléchir même ceux qui ne se présentent pas comme étant contre la mondialisation.

C’est parce que l’OMS a tenté de s’immiscer dans des questions telles que la désinformation, la désinformation, les passeports vaccinaux, et tout cela dans le contexte de l’expansion de ses propres pouvoirs.

Aujourd’hui, les observateurs affirment que la dernière version de ces amendements semble avoir un peu atténué les choses, mais continue de prévoir des pouvoirs élargis de l’OMS dans le même sens.

Initialement, les amendements étaient rédigés de manière à permettre à l’OMS de « renforcer » ses propres capacités en matière de lutte contre « la désinformation et la désinformation » – alors qu’à présent, le texte indique que l’OMS « coordonnera et soutiendra » au niveau local sur des questions telles que la communication sur les risques, y compris « désinformation », etc.

L’autre point important concerne les passeports vaccinaux et la question de savoir quelle entité a le dernier mot pour les délivrer et les exiger. À ce sujet, l’OMS souhaite toujours pouvoir les exiger, ainsi que recommander aux États-nations de procéder à un certain nombre d’exercices de « vérification des preuves ».

Il s’agit non seulement des passeports vaccinaux (« preuve de vaccination ou autre prophylaxie »), mais aussi des preuves d’examens médicaux et d’analyses de laboratoire, et « des preuves des mesures prises au départ ou en transit pour éliminer l’infection ou la contamination ».

En vertu des amendements, toute personne refusant de se faire examiner ou de se faire vacciner peut se voir refuser l’entrée dans un comté.

Un autre point intéressant – interprété par certains comme un moyen de permettre aux entreprises privées de participer à la fois à la « guerre contre la désinformation » et aux efforts en matière de passeports vaccinaux est la disposition qui stipule que les acteurs non étatiques doivent se conformer « aux mesures sanitaires prises dans le cadre du présent RSI ».

Et l’OMS peut toujours déclarer une « alerte d’action précoce » et une « urgence pandémique ».

Source : Reclaim The Net

Traduite par RV7 NEWS


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