Le Forum économique mondial (WEF) appelle les gouvernements du monde entier à criminaliser la soi-disant « inaction climatique » en prévoyant de sévères sanctions pour les contrevenants.
Dans un article récent de l’organisation non élue de Klaus Schwab, le WEF exige que le non-respect de l’agenda vert mondialiste soit qualifié de « violation des droits de l’homme ».
Dans la plupart des pays civilisés du monde, les violations des droits de l’homme constituent des crimes graves passibles de lourdes sanctions.
Aux États-Unis, les sanctions pour violations des droits de l’homme varient d’une amende ou d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à un an, ou les deux, selon le FBI .
En cas de blessures corporelles ou si de tels actes incluent l’utilisation, la tentative d’utilisation ou la menace d’utilisation d’une arme dangereuse, d’explosifs ou d’un incendie, les contrevenants sont condamnés à une amende ou à une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à dix ans, ou les deux.
Si une violation des droits de l’homme entraîne la mort, ou si de tels actes comprennent un enlèvement ou une tentative d’enlèvement, un abus sexuel aggravé ou une tentative de commettre un abus sexuel aggravé, ou une tentative de meurtre, une personne peut être condamnée à une peine d’emprisonnement de toute durée. ans ou à perpétuité ou peut être condamné à mort , déclare le FBI.
Notamment, les défenseurs de l’agenda vert, les Démocrates et leurs alliés dans les grands médias soutiennent à plusieurs reprises le discours selon lequel la soi-disant « crise climatique » « tue des gens ».
En faisant de « l’inaction climatique » une violation des droits humains, ceux qui seraient reconnus coupables de « négation » du soi-disant « réchauffement climatique » pourraient être condamnés à la peine de mort.
Selon le WEF, ce serait la manière appropriée de faire avancer l’agenda vert.
« L’inaction climatique est-elle une violation des droits humains ? » demande le WEF dans un article publié sur son site Internet.
Dans l’article, le WEF suggère qu’il y aura un nombre croissant de procès liés au climat dans les années à venir.
« Les litiges liés au climat semblent généralement prêts à se développer », indique l’article.
Le WEF poursuit en affirmant que les « négationnistes du climat » sont responsables du « nombre record de décès liés à la chaleur ».
Selon la base de données Global Climate Change Litigation, il y a eu plus de 130 cas dans le monde qui ont donné lieu à des réclamations fondées sur les droits de l’homme contre des gouvernements.
En outre, Clémentine Baldon, défenseure des litiges climatiques, a déclaré l’année dernière au WEF qu’on s’attend fortement à ce que les revendications climatiques liées aux droits de l’homme « continuent d’augmenter ».
Mercredi, un procès a été porté devant la Cour européenne des droits de l’homme, intenté par six jeunes individus contre 32 pays européens.
Les six individus affirment que les pays n’ont pas réussi à faire face à la « crise climatique » prétendument causée par les activités humaines.
«Cela est décrit comme ‘ sans précédent’ en termes d’impact potentiel», affirme le WEF.
« Une victoire pourrait pousser certains des pays les plus riches du monde à intensifier leurs réponses au changement climatique ; une perte pourrait affecter les nombreux autres efforts juridiques actuellement en cours pour lutter contre l’inaction.
L’année dernière, Kjerstin Braathen, PDG de Norwegian Finance et porte-parole du WEF, a déclaré que les gens devraient être prêts à subir la « douleur », l’inflation et les « pénuries d’énergie » afin de faire avancer l’agenda vert du WEF et des Nations Unies (ONU).
« Nous devons accepter qu’il y aura une certaine douleur dans le processus », a déclaré Braathen.
« Le rythme dont nous avons besoin [pour mettre fin au changement climatique] ouvrira la voie à des faux pas.
« Cela ouvrira la voie à des pénuries d’énergie.
“Cela créera des pressions inflationnistes, et peut-être devrions-nous commencer à en parler – que cette douleur en vaut réellement la peine.”
Traduction : RV7 NEWS
