Un black-out ne tombe pas du ciel !

Black-out vidéo

Judith, agricultrice, s’est penchée sur le black-out, qui n’est pas un « phénomène naturel » et ne peut pas tomber comme ça du ciel. Qui porte la responsabilité du fait que cela puisse arriver ? Certainement pas les citoyens, bien qu’on veuille leur faire porter le chapeau.

De la même manière que l’événement 201 d’octobre 2019 a donné le coup d’envoi de la crise du Covid 19 la conférence du Cyber Polygone du 9 juillet 2021 pourrait très bien préparer le terrain pour une « cyber pandémie » imminente, face à laquelle la pandémie du Covid 19 semblera alors être une promenade de santé. Avec des attaques ciblées de pirates informatiques, les systèmes régionaux, nationaux ou transnationaux pourraient bientôt cesser de fonctionner. Pas d’électricité, pas d’eau, pas de téléphone, pas de stations-service, de supermarchés, de distributeurs automatiques de billets et bien plus encore.

Une réflexion active et des actions intelligentes sont plus que jamais nécessaires.

Des attaques de hackers à l’échelle mondiale vont TOUT paralyser – il faut maintenant des personnes qui participent activement.

En juillet 2020 et juillet 2021, le Forum économique mondial (FEM) s’est associé au gouvernement russe et à des banques mondiales pour simuler des cyber-attaques très médiatisées qui, en cas d’urgence, feraient tomber l’ensemble de l’économie mondiale. En tant qu’événement réel, cela ouvrirait la voie à la « grande réinitialisation » prévue par le FEM. La simulation, appelée « Cyber Polygon », présente des similitudes alarmantes avec la simulation de pandémie Event 201, également parrainée par le FEM, qui a eu lieu peu avant la crise du COVID-19. Quiconque est capable d’additionner 1 + 1 a une idée de ce qui est imminent. Mais que faire ? Tout comme on peut déjouer un braquage de banque planifié en éclairant le bâtiment de la banque et la rue comme en plein jour, en installant des caméras de surveillance partout et en disant : « Nous sommes au courant. Il suffit de venir et tout le monde le verra et votre jeu sera terminé ! » ; de même, le pire pourrait être évité grâce à la lumière d’informations largement diffusées et à une population qui observe avec vigilance.

Cette émission fait la lumière sur un crime d’une ampleur sans précédent, à savoir le vol total de l’humanité, perfidement planifié ; le but de cette émission est de travailler ensemble pour déjouer ce jeu sournois.

01_Pas de catastrophe sans simulation préalable

L’organisation élitaire FEM (Forum économique mondial) et surtout son directeur, Klaus Schwab, alertent l’opinion publique mondiale sur les conséquences fatales d’une cyberattaque sur Internet. C’est pourquoi ils promeuvent des exercices de simulations préparatoires appelés « Cyber Polygon ». Le scénario menaçant est celui de l’effondrement des systèmes mondiaux financiers et d’approvisionnement, c’est-à-dire des infrastructures d’énergie et de transport. Si on se penche sur les attentats catastrophiques du passé, une image commune s’en dégage pour la quasi-totalité d’entre eux : ils ont eu lieu en lien immédiat ou différé avec un exercice de simulation.

C’est ce qui s’est passé avec le 11 septembre 2001, l’attaque du métro de Londres en septembre 2017, l’attaque de Charlie Hebdo à Paris et enfin l’événement 201 en octobre 2019. Ce dernier a précédé la véritable pandémie du Covid en tant qu’exercice de simulation de pandémie virale, qui tient toujours la majorité de la population mondiale dans une poigne de fer aux conséquences fatales.

02_Introduction au contrôle total

Début juillet 2021, la société informatique américaine Kaseya a été victime d’une cyberattaque par « ransomware ». Il s’agissait d’une extorsion d’argent. Cette cyberattaque a touché plus de 1 000 entreprises qui étaient connectées aux serveurs de Kaseya. La chaîne suédoise de supermarchés Coop a également été touchée et a dû fermer temporairement 800 magasins, parce que le système d’encaissement ne fonctionnait plus. Ce scénario n’est-il pas arrivé juste à temps pour le « Cyber Polygon » du 9 juillet 2021, l’exercice de simulation de cyberattaques virtuelles parrainé par le FEM ? La population doit d’abord paniquer face au problème, pour accepter ensuite les mesures résultant de la simulation. Comme bien souvent, ça se déroule dans cet ordre : le problème, (la cyberattaque réelle), la réaction, (la détresse des entreprises, la panique de la population), puis la solution (le résultat de l’exercice de simulation du Cyber Polygon), c’est-à-dire le développement vers le contrôle total.

David Rockefeller a clairement indiqué ces événements dès 1991. Il a dit littéralement :

« Nous sommes au bord du gouffre d’une restructuration mondiale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une véritable crise globale, et les nations accepteront le nouvel ordre mondial. »

03_Le narratif perfide du confinement des cyber-pandémies

Le terme de cyber-pandémie a été développé dans le contexte des simulations du cyber polygon du FEM. On suppose qu’en cas de cyberattaque, les virus informatiques se propagent à la vitesse de l’éclair grâce aux réseaux informatiques mondiaux et paralysent des secteurs entiers de l’économie. C’est ce qui explique le terme de pandémie. Cela pourrait affecter les chaînes alimentaires, les entreprises énergétiques, les entreprises de logistique, les banques, etc., bref tous les domaines qui constituent notre vie pratique quotidienne. Selon le narratif du FEM, pour faire face à de tels scénarios d’horreur, des confinements rigoureux de l’internet sont nécessaires. Étant donné que tout le monde peut potentiellement être un cyber-terroriste ou au moins l’opérateur d’un système informatique infecté par un virus, des restrictions et des contrôles d’accès sont nécessaires – comme dans le cas de la pandémie du Covid. De même – par analogie avec les mesures de désinfection, le port de masques, les tests, les vaccinations – des scans permanents, etc. des installations informatiques, c’est-à-dire un contrôle total, seraient inévitables. N’est-il pas effrayant de constater à quel point les modèles perfidement concoctés du Nouvel Ordre Mondial de quelques oligarques au pouvoir sont gravés dans nos cerveaux comme une voie apparemment logique ?

04_Internet Patriot Act

L’avocat constitutionnel de Harvard, Lawrence Lessig, affirme que de l’intérieur il a connaissance d’un futur Internet Patriot Act. Celui-ci a un lien avec l’USA Patriot Act du 26 octobre 2001, une prétendue loi antiterroriste adoptée six semaines seulement après la destruction des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001. Ce texte législatif extrêmement volumineux (plus de 1 000 pages au total) aurait difficilement pu être rédigé en si peu de temps. On peut supposer qu’il était déjà préparé et qu’il n’attendait que cet événement initial du 11 septembre. La loi a apporté une restriction sans précédent aux libertés civiles américaines. – Avec le nouvel « Internet Patriot Act », il y aurait une nouvelle restriction extrême des droits à la liberté et à l’autodétermination. Une cyber-attaque majeure, telle que prévue par le Cyber Polygon, pourrait être l’événement déclencheur. Puisque tout le monde serait soudainement un cyber-terroriste potentiel, tout accès à internet ne serait autorisé qu’après des contrôles de personnalité intensifs. La libre expression de l’opinion et les enquêtes indépendantes appartiendraient alors définitivement au passé. Le prétexte de la loi serait à nouveau la protection de la population.

05_La 4e révolution industrielle et le « stakeholder capitalism » (capitalisme des parties prenantes)

Le Forum Économique Mondial (FEM), qui compte parmi ses membres l’élite la plus riche du monde, a officiellement annoncé une Grande Réinitialisation. Il s’agit de la transition orchestrée vers une économie mondiale de la 4e révolution industrielle, dans laquelle la main-d’œuvre humaine est de plus en plus remplacée par l’intelligence artificielle et devient donc inutile. Mais que faire des masses populaires ? La réponse est le capitalisme des parties prenantes – une forme extrême de fascisme – et avec lui le contrôle illimité du peuple, par exemple en « coupant » aux gens l’accès à l’argent et aux services s’ils ne se conforment pas à certaines directives, lois et réglementations ou en les considérant comme indignes d’exister (des détritus) : les personnes âgées, les malades, les handicapés, certains groupes ethniques, etc. Bien que ces personnes qui désirent être des souverains fassent passer cela pour une harmonie entre l’homme et la planète, ils dissimulent le fait que la plupart des gens seront laissés pour compte. Klaus Schwab, chef du FEM, tente de dissimuler le vol total prévu de tous les peuples par des euphémismes du genre : « Vous ne posséderez rien, et vous en serez heureux. »

06_Effondrement programmé du système bancaire et financier

Selon les plans du Forum économique mondial (FEM), les nouveaux systèmes économiques digitaux, qui seront dirigés par les banques centrales, contrôleront la foule de chômeurs. Ces monopoles numériques seront autorisés à « couper » l’argent et l’accès aux services de toute personne ne respectant pas certaines lois et réglementations. Afin d’introduire ce système radical, également appelé « Stakeholder capitalisme » (capitalisme des parties prenante), le système actuel doit d’abord s’effondrer. Ce renversement, qui est le transfert complet de la richesse du bas vers le haut, doit être présenté au peuple comme bon et nécessaire. Pour ce faire, les crises qui créent la panique chez chacun s’y prêtent le mieux – une guerre, une pandémie ou un effondrement. C’est exactement ce qui est simulé en ce moment. Une cyber-attaque simulée sous le nom de Cyber Polygon permet de rendre des hackers sans visage, responsables de l’effondrement économique. C’est ainsi que les vrais criminels veulent échapper aux poursuites pénales et prendre le contrôle du monde entier.

07_Fin du narratif du « hacker russe ».

Une opinion prédéterminée par les principaux médias s’appelle un « narratif ». Le narratif du « hacker russe » vise à faire croire que les cyber-menaces viennent principalement de Russie. De manière surprenante, lors de l’événement Cyber Polygon de simulation de crise 2020, BI.ZONE, une filiale de la Silberbanque contrôlée par le gouvernement russe était le principal organisateur. Celle-ci, comme les Occidentaux, a reçu un savoir direct sur les points faibles des cyber-défenses des grandes institutions mondiales, banques et entreprises. Pourtant en Occident, il n’y en a pas eu le moindre écho. C’est tout comme si le narratif du « hacker russe » était destiné à dissimuler les traces des véritables cyber-terroristes !

08_Quel rôle jouent les services secrets dans le cyber-polygone ?

Parmi les intervenants au Cyber Polygon 2020 figuraient des cadres de grandes entreprises internationales ayant une proximité remarquable avec les milieux des services secrets. Wendi Whitmore, vice-présidente d’IBM X-Force Threat Intelligence, s’est exprimée sur le thème des cyber-menaces. Son implication, c’est-à-dire celle d’IBM dans les simulations, est remarquable. Cette grande entreprise a des liens étroits avec la CIA. Du reste, la CIA a récemment directement recruté son directeur de l’information chez IBM Federal. En contrepartie, IBM a signé un contrat de cloud de plusieurs milliards de dollars avec la CIA. – Yigal Unna, chef de la Direction nationale du cyberespace d’Israël (Israel National Cyber Directorate) a prévenu l’année dernière que les cyberattaques pouvaient nous faire entrer à tout moment dans un « cyber hiver », c’est-à-dire dans une situation où tout serait gelé. À ce titre, Unna travaille en étroite collaboration avec les services secrets israéliens. Il en va de même pour la fameuse Unité 8200, qui peut se référer à sa longue histoire d’espionnage électronique contre les États-Unis ainsi que d’autres pays, et qui a elle-même été responsable de plusieurs piratages dévastateurs. Parmi ceux-ci, le virus Stuxnet, qui a endommagé le programme nucléaire iranien. Cette présence des services secrets au Cyber Polygon et dans les grandes entreprises n’est-elle pas effrayante ?

09_Prepper – utiliser la crise comme une opportunité

Des attaques à grande échelle contre notre infrastructure de données pourraient paralyser tout le pays, notre continent, voire le monde entier. L’alimentation en électricité et en eau, les systèmes de transport et de circulation, les stations-service, les banques, les systèmes de télécommunication, les chaînes alimentaires, etc. tomberaient soudainement en panne. La chose la plus importante pour tout être humain est d’être préparé. Pour un bon « prepper », il faut d’abord savoir qu’une telle panne peut se produire. Cela aide à garder le calme qui est essentiel à la survie. Il est tout aussi essentiel de pouvoir compter sur des fournitures qui répondent aux besoins, comme l’eau, la nourriture, les médicaments, les articles d’hygiène, etc. Un facteur non moins important est de se mettre en réseau avec des amis et des personnes partageant les mêmes idées « dans les bons moments », afin d’élaborer un « plan de crise ». Ainsi, on peut se soutenir mutuellement grâce à ses capacités polyvalentes, ses talents, ses possibilités, etc.

Conclusion : En fin de compte, la crise offre une chance de revenir à l’auto-responsabilité, à la communauté et à l’autonomie régionale.

Cependant, le prepper, c’est-à-dire une personne préparée aux crises, le plus efficace reste celui qui ne veut pas seulement sauver sa propre peau, mais se considère comme une partie d’un tout à sauver et se comporte en conséquence : Diffusez la lumière de l’information (également de cette émission) aussi loin que possible et éduquez ainsi une population qui observe et réfléchit avec vigilance. De cette façon, les dommages peuvent être minimisés et chaque crise peut être maîtrisée.