Par Willow Tohi
L’approbation des vaccins à ARNm autoréplicatifs : un précédent dangereux pour la liberté de santé
- Le Comité européen des médicaments à usage humain (CHMP) a recommandé l’approbation de Kostaive, un vaccin à ARNm auto-réplicatif (saRNA), malgré d’importants problèmes de sécurité et un manque de données à long terme.
- Kostaive présente un nouveau mécanisme dans lequel l’ARNm injecté se réplique dans le corps, comme une infection virale, provoquant potentiellement des effets à long terme inconnus et soulevant des préoccupations éthiques concernant l’autonomie corporelle.
- Les essais de Kostaive ont montré des taux élevés d’événements indésirables, avec 90 % des participants ayant subi des effets secondaires, 74,5 % ayant signalé des réactions systémiques et 15,2 % ayant nécessité des soins médicaux. Cinq décès ont été signalés dans l’étude de phase 3b.
- Il n’existe aucune recherche à long terme sur les risques potentiels des vaccins à ARNs, notamment la possibilité de mutations cancéreuses, de réponses auto-immunes ou d’autres effets nocifs.
- L’approbation de Kostaive pourrait créer un précédent dangereux, en donnant la priorité aux profits des entreprises au détriment de la sécurité publique et en compromettant la liberté de santé, la transparence et la gouvernance démocratique.
La recommandation récente du Comité européen des médicaments à usage humain (CHMP) d’approuver Kostaive, un vaccin à ARNm autoréplicateur (saRNA), marque une inquiétante escalade dans la volonté de l’industrie pharmaceutique de déployer des technologies non testées et potentiellement dangereuses sur la population mondiale. Cette décision, qui incombe désormais à la Commission européenne, suscite de graves inquiétudes quant à l’érosion de la liberté de santé, à la transparence gouvernementale et à la priorité donnée aux profits des entreprises au détriment de la sécurité publique.
Les vaccins à ARNm autoréplicatifs, comme celui de Kostaive, ne sont pas simplement une autre itération de la technologie traditionnelle de l’ARNm. Ils représentent une rupture radicale avec les vaccins conventionnels, en introduisant un mécanisme qui permet à l’ARNm injecté de se répliquer dans le corps , à la manière d’une infection virale. Cette « presse à imprimer biologique » pourrait théoriquement amplifier indéfiniment la présence et les effets du vaccin, créant une cascade de conséquences imprévues qui restent entièrement inconnues.
Les données des essais cliniques sur Kostaive sont pour le moins alarmantes. Au cours des phases 1, 2 et 3a, 90 % des participants ont subi des effets indésirables après la première dose, 74,5 % ont signalé des réactions systémiques et 15,2 % ont nécessité des soins médicaux. Cinq décès ont été signalés dans la seule étude de phase 3b. Ces chiffres ne sont pas que des statistiques ; il s’agit de vies humaines et de résultats en matière de santé sacrifiés sur l’autel de l’opportunisme. Pourtant, malgré ces signaux d’alarme, le CHMP a recommandé l’approbation, soulevant des questions sur l’intégrité du processus réglementaire et l’influence des sociétés pharmaceutiques comme Arcturus Therapeutics.
Ce qui est encore plus inquiétant, c’est le manque de données sur la sécurité à long terme de ces vaccins. Comme l’a judicieusement noté l’épidémiologiste Nicolas Hulscher, « ces produits sont complètement nouveaux. Il n’existe absolument aucune donnée sur leur sécurité à long terme. » Le potentiel de ces vaccins à ARNm auto-amplifiants à transformer les cellules , à induire des mutations cancéreuses ou à déclencher des réponses auto-immunes n’a toujours pas été étudié. L’absence de recherche approfondie et indépendante est une omission flagrante dans une décision qui affectera des millions de vies.
L’approbation par le Japon de cette même technologie en 2023 , avec ses propres taux d’effets indésirables inquiétants, devrait servir d’avertissement. Pourtant, au lieu de tirer les leçons de ces expériences, l’Union européenne semble prête à suivre le mouvement, en donnant la priorité aux intérêts des grandes sociétés pharmaceutiques au détriment du bien-être de ses citoyens. Il ne s’agit pas seulement d’un échec de la surveillance réglementaire, mais d’une trahison de la confiance du public.
L’auto-réplication détruit la liberté de santé et l’autonomie corporelle
Les implications des vaccins à ARNm autoréplicatifs vont bien au-delà des risques immédiats pour la santé des individus. Ces vaccins représentent un précédent dangereux dans la consolidation continue du pouvoir des sociétés pharmaceutiques et des agences de réglementation sous leur contrôle. Le manque de transparence, la suppression des voix dissidentes et le mépris des véritables préoccupations en matière de sécurité font tous partie d’un modèle de contrôle plus large qui menace la liberté de santé et la gouvernance démocratique.
De plus, on ne peut ignorer le potentiel de ces vaccins comme outils de contrôle démographique. La capacité d’injecter du matériel génétique autoréplicatif dans le corps humain soulève des questions éthiques qui touchent au cœur de ce que signifie être libre. Une fois ces technologies approuvées, la porte est ouverte à de nouvelles expérimentations, sans se soucier des conséquences à long terme.
La Commission européenne doit rejeter cette recommandation et suspendre l’approbation du vaccin à ARNm autoréplicateur Kostaive et d’autres vaccins similaires. Les risques dépassent largement les avantages et le manque de données de sécurité à long terme rend cette technologie impropre à l’usage humain. Au lieu de se précipiter pour adopter des innovations non testées et dangereuses, les régulateurs devraient donner la priorité à la santé et au bien-être de leurs citoyens, en menant des études rigoureuses et indépendantes et en s’assurant que tout nouveau vaccin répond aux normes de sécurité et d’efficacité les plus élevées.
En tant que professionnels de la santé naturelle, nous sommes fermement convaincus que la liberté de santé est un droit humain fondamental. L’approbation de vaccins à ARNm autoréplicatifs non seulement mettrait en péril ce droit, mais créerait également un précédent dangereux pour les futures interventions médicales. Il est temps que les gouvernements et les organismes de réglementation écoutent la voix des scientifiques, des professionnels de la santé et des citoyens qui exigent transparence, responsabilité et véritable protection de la santé publique. L’avenir de la liberté de santé en dépend.
Les sources incluent :
Défense de la santé des enfants.org
Source : Natural News