Des armes secrètes ont-elles été la cause de la catastrophe de Tchernobyl ? Nous menacent-elles à nouveau aujourd’hui ?

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Ce documentaire-thriller met en lumière, près de 40 ans plus tard, le rapport entre la catastrophe de la centrale nucléaire et les « murs d’antennes radars d’attaque » électromagnétiques de 150 m de haut et 600 m de long chacun, installés près de Tchernobyl. Aujourd’hui, le monde doit à nouveau retenir son souffle face à ces systèmes d’armes secrètes qui ont été perfectionnés au cours des dernières décennies, comme par exemple « Woodpecker » et HAARP ! Ceux-ci peuvent en effet modifier notre climat, rendre notre météo « folle » et menacer le corps et la vie de tous les habitants de la planète !

Intro: « Tchernobyl n’a donc pas seulement fourni du plutonium pour les bombes nucléaires, mais faisait lui-même partie d’une arme gigantesque. »

« Nous avons une nouvelle arme – pour ainsi dire dans le portefeuille de nos scientifiques. Si puissante que si elle était utilisée indéfiniment, toute vie sur Terre serait anéantie. »

« HAARP – Un système d’armes qui affecte le climat »

« en modifiant le climat, en créant des tremblements de terre, en ouvrant des volcans grâce à l’utilisation d’ondes électromagnétiques. »

Le « facteur de risque élevé »

Ils ont tiré le 25 avril 86

Puis, le 26 avril 1986, les dispositifs de sécurité se sont définitivement effondrés…

… a jailli de la structure de la cuve et a craché des matières radioactives. Les retombées nucléaires se sont répandues dans toute l’Europe. »

Werner Altnickel, titulaire d’un master en technique télévisuelle indépendant depuis 1974, a reçu le prix EUROSOLAR 1997 et d’autres prix environnementaux. En 2008 déjà, il avait fait un exposé sur les armes chimiques de manipulation de la météo, connues sous le nom de chemtrails, devant plus de 1 000 spectateurs lors de la Conférence anti-censure. Il a également abordé le sujet des techniques électromagnétiques de « manipulation météorologique » par le biais des installations HAARP.

En tant qu’écologiste, il a été membre des Verts et est devenu « militant de Greenpeace » à partir de 1987. Altnickel s’est intéressé de très près à l' »accident nucléaire » de Tchernobyl du 26 avril 1986. Selon la version officielle, il s’agirait de l’accident le plus lourd de conséquences dans l’histoire de l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire. La catastrophe se serait produite lors d’un essai réalisé pour simuler une panne totale de l’alimentation électrique externe du réacteur nucléaire. Werner Altnickel ne s’est jamais contenté de cette description. Après la publication de ses recherches intensives sur la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, il a été licencié par Greenpeace en 2005 avec une lettre de démission. Il y était expliqué que ses publications sur les thèmes de Tchernobyl, des manipulations météorologiques et des systèmes d’armes scalaires ne seraient pas dans l’intérêt de Greenpeace.

Kla.TV diffuse aujourd’hui un documentaire de Werner Altnickel, où il expose de manière probante que la catastrophe de Tchernobyl ne peut en réalité pas être un « accident » ! En raison de nombreuses incohérences évidentes, Altnickel a étudié intensivement le livre « FER DE LANCE », publié en 2002 par le spécialiste des ondes scalaires et lieutenant-colonel américain Tom Bearden. Il est ainsi parvenu à la conclusion que cette catastrophe avait plutôt été causée par un échange scalaire électromagnétique dans la guerre entre le KGB de l’Union soviétique et les États-Unis. La centrale nucléaire de Tchernobyl se trouvait alors sur le territoire de l’Union soviétique.

Ni la partie russe ni les États-Unis n’ont intérêt à ce que les véritables raisons de ce prétendu accident soient élucidées ! C’est pourquoi la recherche de Werner Altnickel est d’une brûlante actualité ! Ce documentaire n’est pas seulement un travail de recherche historique. Les systèmes d’armes utilisés à l’époque nous menacent de manière bien plus dangereuse dans la situation dramatique actuelle du monde. Nous y reviendrons à la fin de cette émission.

I. Déclarations explosives du professeur Edmund Lengfelder

Dans ses recherches, Werner Altnickel est tombé sur un article de Martin Ebner du 31 août 2003 concernant une excursion avec des journalistes dans la zone d’exclusion de la centrale nucléaire de Tchernobyl avec le professeur Edmund Lengfelder de l’Institut de radiologie Otto Hug à Munich. Ce dernier et son équipe aidaient régulièrement les personnes contaminées par la radioactivité, notamment sur le plan médical.

Le professeur Lengfelder a fait à cette occasion les déclarations explosives suivantes :

Nous citons le rapport « Sortie à la campagne avec compteur Geiger » de Martin Ebner du 31 août 2003 :

« Je vois maintenant Tchernobyl ! Le sarcophage et tout ! » […].

A côté de la centrale nucléaire, on peut voir Pripyat, une ville fantôme étonnamment grande pour les anciens employés de la centrale. […] Et quelles sont ces antennes géantes qui n’étaient connues sur aucune photo de Tchernobyl, mais qui sont maintenant visibles à l’œil nu au-dessus de Pripyat ? […]

La déclaration de Lengfelder : Il s’agirait de la réponse inachevée au « programme Star Wars » des Etats-Unis, à savoir deux murs d’antennes de 150 mètres de haut et 600 mètres de long. Dix d’entre eux auraient dû être placés dans un cercle de 35 km de diamètre afin d’envoyer des faisceaux à haute fréquence dans l’ionosphère. En y réfléchissant, on aurait alors pu atteindre n’importe quel point du globe avec des rayons extrêmement intenses et paralyser par exemple les systèmes de communication occidentaux. La centrale nucléaire [de Tchernobyl] devait fournir d’énormes quantités d’énergie à cet effet, 16 réacteurs auraient dû être installés. « Cela aurait fonctionné », Lengfelder en est sûr : […]. Tchernobyl n’a donc pas seulement fourni du plutonium pour les bombes [atomiques], mais faisait lui-même partie d’une arme gigantesque. »

Les déclarations du professeur Lengfelder sont également confirmées par des enregistrements que l’on peut voir dans un documentaire de la radio bavaroise datant de 2006 :

La nature reconquiert le terrain arbre par arbre. La barrière de la zone interdite ne se lève que pour permettre la poursuite du voyage vers la zone interdite suivante. La forêt qui pousse rapidement partout est irradiée, tout comme la forêt de pylônes électriques qui ne peuvent pas être fondus, car l’acier resterait radioactif. Les pylônes servaient autrefois à alimenter en électricité les ménages et l’industrie, mais aussi le système de défense contre les missiles à haute fréquence avec lequel les Soviétiques voulaient éliminer les missiles américains et de l’OTAN. Son électronique a été détruite par la catastrophe, elle s’est figée comme tout ici en pierre tombale.

Selon les déclarations du professeur Lengfelder, le but principal de la centrale nucléaire de Tchernobyl était de fournir d’énormes quantités d’énergie pour une super-arme militaire située à proximité, près de Pripyat ! Au final, 16 centrales nucléaires devaient voir le jour. Celles-ci devaient alimenter en tout dix super-armes de ce type, avec des quantités d’énergie inimaginables. Ce plan n’est certainement pas passé inaperçu auprès des services de renseignement américains !

II. Développement d’une super-arme militaire en Union soviétique

Comme les Soviétiques ne pouvaient pas rattraper rapidement les États-Unis dans le développement de la bombe atomique, ils ont profité des connaissances des techniciens allemands en haute fréquence qu’ils avaient déportés en Russie après 1945. Ces derniers avaient déjà développé un nouveau type de radar de reconnaissance à distance et poursuivaient leurs recherches en Russie sur les « antennes Trans-Horizon ». C’est ainsi qu’ont été développées les antennes électromagnétiques scalaires de détection des radars et des missiles, ainsi que l’électronique correspondante ! Les développements d’après-guerre ont ensuite également culminé dans des techniques à double utilité : En effet, outre leur utilisation pacifique, ces armes développées servaient également à l’attaque et à la destruction par les militaires, par exemple pour le lancement de missiles, le déclenchement de l’activité sismique, la manipulation météorologique ou encore l’influence mentale, etc.

La nouvelle technologie des Russes était connue sous le nom de « Woodpecker ». Le terme « Woodpecker » (pic-vert) est né des bruits parasites radioélectriques semblables au martèlement d’un pic-vert, que les radioamateurs ont été les premiers à découvrir.

Le journal américain « Miami Herald » a également utilisé ce terme dans son article « Bataille avec des woodpeckers russes. » Cette super-arme est une sorte d’arme à rayons qui nécessite des quantités d’énergie gigantesques.

En 1957, une grande catastrophe s’est produite dans l’ex-URSS en raison des recherches menées sur cette super-arme militaire scalaire. Près de Kyshtym, à proximité de Maïak, se trouvait une « installation de recherche militaire » nucléaire secrète. Lors de cette catastrophe, l’irradiation régionale a été cent fois plus importante qu’à Tchernobyl !

L’ancien lieutenant-colonel de l’armée américaine Tom Bearden a été analyste au Pentagone. Il était un spécialiste reconnu de la « technique scalaire » et a publié le livre en allemand « Skalartechnolgie ». Il explique cette catastrophe comme suit :

« Les Soviétiques avaient produit un renversement de puissance lors de leur précédent échec de Kyshtym. Celui-ci avait provoqué une explosion nucléaire d’un dépôt de déchets nucléaires situé à proximité ! Les retombées radioactives ont contaminé environ 1 200 km², qui sont encore aujourd’hui extrêmement contaminés. Je savais aussi que, pour se protéger contre des situations d’urgence comme celle de Kyshtym [plus tard], les Soviétiques avaient installé des systèmes de sécurité sur tous leurs émetteurs scalaires. Grâce à ces installations de sécurité, ils voulaient, en cas de court-circuit des émetteurs, dévier l’énergie lentement et sans danger dans la terre sur une période prolongée. »

Dans son livre « FER DE LANCE », Bearden poursuit : « Les nouvelles super-armes ont été développées, produites et utilisées sous la direction du KGB. Comme elles étaient top secret, elles n’ont jamais été remises entre les mains de l’armée régulière russe ! »

En 1960, l’ex-chef du gouvernement de l’Union soviétique, Nikita Khrouchtchev, a fait la déclaration suivante devant son présidium au sujet des futures armes scalaires :

« Nous avons une nouvelle arme – pour ainsi dire dans le portefeuille de nos scientifiques. Si puissante que si elle était utilisée indéfiniment, toute vie sur Terre serait anéantie. »

La nouvelle super arme scalaire n’a toutefois été opérationnelle qu’en avril 1963.

Trop tard pour Khrouchtchev pour contrer la confrontation américaine lors de la crise des missiles de Cuba en octobre 1962. La super arme a été utilisée pour la première fois le 10 avril 1963 pour détruire le sous-marin américain « U.S.S. TRESHER » sous l’eau au large de la côte est des États-Unis lors d’un exercice de démonstration de force !

L’historiographie officielle continue cependant d’affirmer que le sous-marin à propulsion nucléaire a coulé en raison d’une défaillance technique.

III. Une super arme militaire peut manipuler la météo !

En 1962 déjà, l’ex-président américain Lyndon B. Johnson déclarait : « Celui qui contrôle la météo contrôlera le monde. »

Comme il a été prouvé que cette nouvelle technologie scalaire permet d’influencer la météo, toute avance dans la recherche de ces armes signifie un énorme pouvoir politique et militaire !

Dès les années 1970, les Soviétiques, puis d’autres forces militaires, ont notamment procédé à de grandes manipulations météorologiques. Les stations de transmission soviétiques « Woodpecker » ont fait l’objet de reportages aux États-Unis et en Europe.

C’est ce que montre par exemple une caricature sur le contrôle météorologique parue dans le « WELT am SONNTAG » du 8 août 1974 :

Le contrôle électromagnétique des tremblements de terre, la gestion des vagues de chaleur et des sécheresses extrêmes, ainsi que la production de chutes de neige y ont été abordés de façon simple.

Le Parlement européen confirme lui aussi l’existence de telles armes météorologiques dangereuses dans un rapport du 14 janvier 1999 intitulé « HAARP – Un système d’armes qui affecte le climat » !

IV. Essais de contrôle des armements de la super-arme militaire

Le 16 juin 1972, lors de la conférence des Nations unies à Stockholm, une résolution sur l’élimination des dommages environnementaux causés par les armes destructrices et autres systèmes a été adoptée !

En 1975, les Soviétiques ont fait plusieurs propositions de désarmement nucléaire et de désarmement des armes scalaires électromagnétiques. Or, à l’époque, les États-Unis les ont ignorées.

En 1976/77, la « Convention ONU-ENMOD » a permis d’empêcher les « systèmes d’armes environnementaux ». Toutefois, ces dispositions n’étaient que partiellement contraignantes et ont été assouplies en 1997.

Voici un extrait de la « Convention ENMOD », annexe 2 :

« Les exemples suivants illustrent les possibilités causées par l’utilisation de techniques de manipulation de l’environnement : les tremblements de terre, les tsunamis, la rupture de l’équilibre écologique d’une région, la modification des modèles météorologiques (nuages, précipitations, cyclones et tornades), les changements des modèles climatiques et des courants marins, la modification de l’état de la couche d’ozone et de l’ionosphère. »

L’ancien secrétaire américain à la défense, le Dr William Cohen, a confirmé l’existence de ces armes de destruction massive le 28 avril 1997 lors d’une « conférence sur le terrorisme » à Athènes :

« D’autres [terroristes] s’engagent même dans une sorte d’éco-terrorisme, en modifiant le climat, en créant des tremblements de terre, en ouvrant des volcans grâce à l’utilisation d’ondes électromagnétiques. […] C’est réel, et c’est la raison pour laquelle nous devons intensifier nos « efforts antiterroristes » ! »

Cohen n’a pas mentionné le fait que ces armes sont principalement utilisées sous la forme de terrorisme d’État par les puissances nucléaires, mais a caché ces crimes, en général d’État, sous le couvert du terrorisme.

V. Les antécédents top secret de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl

Après des recherches supplémentaires, Werner Altnickel a trouvé sur le site web du spécialiste des ondes scalaires et ancien lieutenant-colonel américain Tom Bearden d’autres déclarations explosives sur les processus réels, tenus secrets et à peine connus par le KGB, qui ont conduit à l’explosion du réacteur nucléaire de Tchernobyl.

Le lieutenant-colonel Bearden a écrit dans son livre « FER DE LANCE », dont la deuxième édition a été publiée en 2002, qu’il était directement impliqué dans la catastrophe de la centrale nucléaire, en temps réel ! Il décrit dans ce livre de manière très détaillée et selon un point de vue militaire américain, par quelle technologie de guerre scalaire et électromagnétique la catastrophe de la centrale nucléaire a été provoquée.

Nous citons ici des extraits de son livre à partir de la page 129, en gardant à l’esprit que cette super-arme scalaire permet même de déclencher des tremblements de terre, entre autres :

« En avril 1986, les « émetteurs interférométriques du KGB » ont commencé à générer de l’énergie électromagnétique qui a été fortement induite sur les côtés de la « faille de San Andreas », qui traverse Los Angeles et s’étend jusqu’à San Francisco. Ils ont utilisé « l’intérieur » des rayons Woodpecker comme « super autoroutes » pour leurs ondes longitudinales et leur interférométrie. Deux voies de rayonnement ont été utilisées par les Soviétiques. L’un est descendu du nord vers l’objectif en passant par la région du pôle Nord et les icebergs – et l’autre est descendu de l’est vers la zone cible.

Les Soviétiques ont créé un très grand tremblement de terre – en fait, pour produire toute une série de séismes de ce type tout au long de la faille de San Andreas, avec de fortes répliques, après que le séisme principal aurait causé de terribles destructions. En bref : Ils préparaient « l’unique grand tremblement de terre » que tout le monde attendait et redoutait depuis si longtemps. »

VI. La réaction américaine à l’attaque russe de Woodpecker

Nous continuons à citer le livre de Tom Bearden :

« Un groupe privé m’a contacté.

Ils ont déclaré qu’ils pouvaient désactiver l’un des émetteurs en produisant une puissante et énorme « impulsion de signal de réplique de conjugaison de phase » qui reviendrait directement dans l’émetteur et le « brûlerait » de manière catastrophique. En fait, il semblait que toute la « zone de la faille d’Andreas » devait être stimulée en déposant un excédent d’énergie sur toute sa longueur. Dans ce cas, l’induction d’un tremblement de terre touchant la Californie commencerait et serait d’une ampleur sans précédent. Si cet événement ou ces événements se produisaient, les pertes de vies et de biens américains seraient stupéfiantes.

« Le facteur de risque élevé »

La question qui m’a été posée par le groupe présentait une situation de décision très difficile. Ces grands faisceaux interférométriques soviétiques, une fois construits, contiennent une énorme énergie d’onde électromagnétique longitudinale. Si un émetteur soviétique se trouvait à proximité d’installations nucléaires et que celles-ci étaient immédiatement court-circuitées par la fusion, toute cette « énergie potentielle » se précipiterait directement dans la terre.

Dans le cas d’une telle défaillance catastrophique de l’émetteur, une « impulsion d’ondes longitudinales » extrêmement puissante se propagerait dans toutes les directions de la Terre environnante. Le premier matériau nucléaire touché par l’impulsion serait soudainement et très violemment fissuré. Si l’émetteur se trouvait à quelques kilomètres seulement d’une ou de plusieurs « positions de missiles intercontinentaux », il pourrait en résulter l’explosion complète de quelques 30 ou 40 « ogives nucléaires de plusieurs mégatonnes ». Les retombées et la pollution radioactive qui en résulteraient seraient massives, se répandraient dans le monde entier et pourraient tuer des millions de personnes dans les années à venir. Les réacteurs nucléaires seraient confrontés à un danger similaire. La fission immédiate de toutes les matières fissiles dans l’un d’entre eux déclencherait une gigantesque explosion nucléaire. Cela créerait un nouveau précédent. C’était le « facteur de risque élevé ».

Le « facteur de risque faible »

Le « facteur de risque faible » serait que peu ou rien de tout cela ne se produise, qu’un séisme [terrestre] soit éventuellement déclenché dans une zone de perturbation proche, etc. Je savais que les Soviétiques avaient produit une « impulsion électromagnétique » d’une manière beaucoup plus petite après leur « échec précédent de l’émetteur Kyshtym », et cette impulsion avait provoqué une explosion nucléaire d’un site de stockage de déchets nucléaires voisin.

Je savais aussi qu’après Kyshtym, les Soviétiques avaient installé des systèmes de sécurité en cas d’échec de ce type sur tous leurs « émetteurs interférométriques » scalaires.

Si les dispositifs de sécurité étaient maintenus en cas de court-circuit soudain de l’émetteur, ils pourraient maintenir les « faisceaux d’ondes électromagnétiques longitudinaux » et les potentiels suffisamment longtemps pour dériver lentement et en toute sécurité l’énergie dans la terre sur une période de temps prolongée. C’était le « facteur de risque faible » ».

VII. La véritable cause de la catastrophe de Tchernobyl

Dans son livre, Bearden décrit en détail comment la catastrophe du réacteur a réellement été déclenchée :

« Le groupe m’a remercié, s’est rendu compte qu’ils allaient tirer et ils ont raccroché. Ils ont tiré le 25 avril 86, comme ils l’avaient promis, et ont détruit un des émetteurs du KGB, apparemment à quelques kilomètres des réacteurs nucléaires de Tchernobyl.

Au moment où l’émetteur a été touché et détruit, l’ingénieur Bill Bise, qui mesurait les rayons Woodpecker à l’extérieur dans le champ avec des détecteurs de champ magnétique, a observé l’extinction soudaine du rayon Woodpecker qui venait de l’est autour de la Terre.

Ce qu’il mesurait à ce moment-là, c’était la destruction réussie de l’émetteur interférométrique distant. Sans le savoir, il avait constaté le résultat d’une grande contre-attaque dans une bataille très dangereuse.

Au niveau de la station de transmission détruite, les dispositifs de sécurité se sont mis en marche, ont capté la grande puissance de rayonnement et l’ont maintenue pendant environ 24 heures, en introduisant progressivement et lentement l’énergie rayonnante intense dans la terre – pendant tout ce temps. Un message désespéré concernant les réacteurs de Tchernobyl a alarmé le personnel de contrôle de la centrale nucléaire pour qu’il arrête immédiatement ces réacteurs (en abaissant les barres de contrôle du cadmium). Mais l’uranium des barres de combustible était bien sûr toujours là. Tchernobyl a ensuite attendu en retenant son souffle pour voir si les mesures de sécurité tiendraient.

Puis, le 26 avril 1986, les dispositifs de sécurité se sont définitivement effondrés et un « sursaut d’ondes longitudinales » beaucoup plus faible que celui qui se serait produit s’il n’y avait pas eu les dispositifs de sécurité a eu lieu. Les ondes longitudinales se propageant dans la terre ont frappé le cœur du réacteur de Tchernobyl, le plus proche des ondes longitudinales, quelques secondes avant qu’un choc sismique ne soit induit dans la terre à l’arrivée des ondes longitudinales. Une partie de l’uranium touché dans le cœur du réacteur s’est immédiatement fissurée, a jailli de la structure de la cuve et a craché des matières radioactives. Les retombées nucléaires se sont répandues sur presque toute l’Europe. »

Outre le rapport Bearden, il existe également un rapport très complémentaire du Dr Peter Beter. Ce dernier avait été nommé par le président J. F. Kennedy pour superviser la banque du commerce extérieur des États-Unis. Il a expliqué que la motivation des États-Unis pour cette riposte scalaire n’était pas seulement de nature défensive, mais a confirmé que les États-Unis ne voulaient pas continuer à tolérer l’avance technologique majeure des Russes et qu’ils avaient donc détruit l’installation d’armes scalaires russe.

VIII. Des scientifiques russes réfutent l’historiographie officielle de Tchernobyl !

Même après plus de 38 ans, les médias dits dominants n’ont guère contribué à l’établissement de la vérité sur la catastrophe de Tchernobyl. Au contraire, ils se sont presque exclusivement contentés de propager les déclarations officielles des gouvernements. N’est-ce pas honteux au plus haut point ? Et ils sont financés par les gouvernements. Mais par la force des choses, même les médias dits dominants révèlent de temps à autre des vérités partielles. Un exemple de ce genre est un « documentaire NDR-ARTE » datant de 1998 et intitulé : « La vraie raison de Tchernobyl ? » Ce documentaire est la pièce manquante du puzzle du « rapport US-Bearden ». Des scientifiques russes y réfutent les explications officielles du gouvernement russe. Comme ceux-ci n’avaient manifestement pas connaissance des injections directes d’énergie électromagnétique dans l’uranium de la centrale nucléaire en raison du secret imposé par le KGB, ils n’étaient pas encore en mesure, à cette époque, d’expliquer certains des processus physiques qui s’étaient produits.

Comme ce documentaire présente de précieuses images originales des ruines de Tchernobyl, qui peuvent apporter une contribution importante à l’établissement de la vérité, nous en montrons maintenant des extraits. Grâce aux informations de fond sur les recherches de Werner Altnickel, les événements réels de Tchernobyl sont expliqués de manière très plausible :

Présentatrice ARTE : En juillet 1986, deux mois après la terrible catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl, le KGB a publié une liste d’instructions top secret. En haut de la liste, il y avait : « La cause réelle de la super-génération ne devrait jamais être connue. »

Mais un homme voulait quand même découvrir la vérité. Le physicien nucléaire Konstantin Pavlovic Chetcherov. C’est pourquoi il n’a cessé de parcourir les ruines, même jusque sous le sarcophage qui entoure désormais le réacteur n° 4 détruit.

Il a trouvé des traces étranges de l’accident, qui ne correspondaient pas aux déclarations faites à l’époque à l’opinion publique mondiale.

Tchetcherov, physicien nucléaire, Moscou : Nous avons pénétré dans le puits du réacteur et continué à ramper, dans chaque salle de contrôle au-dessus du réacteur, et même dans les salles sous le réacteur. Nous avons pris des photos et des vidéos, prélevé des centaines d’échantillons et effectué, je dirais, des milliers de mesures. Ce n’est qu’après que nous avons commencé à soupçonner ce qui s’était réellement passé avec le bloc 4. Et soudain, nous avons réalisé que les déclarations officielles de 1986 ne correspondaient pas du tout à ce que nous avions sous les yeux.

Présentatrice ARTE : En même temps, en juillet 1986, le KGB a remis à de hauts responsables politiques et à des fonctionnaires une liste secrète contenant des instructions claires.

Tchetcherov : Cette liste avait vraiment été établie d’une manière étrange, tout simplement par les services secrets, par le KGB. C’était une décision inhabituelle. Une décision politique. La liste a été publiée et tous les cadres dirigeants ont dû s’y conformer.

Point 1 de la liste : « Toutes les informations qui révèlent les véritables causes de la catastrophe du réacteur sont strictement confidentielles. »

Toutes les déclarations officielles étaient donc fausses, puisqu’elles n’étaient pas confidentielles. C’est très étrange.

Présentatrice ARTE : Conformément à la déclaration officielle, l’accident nocturne du réacteur a été causé par une erreur humaine, par une tentative irresponsable de voir ce qu’il fallait faire en cas d’arrêt soudain de la turbine. Lorsqu’ils ont eu recours au bouton d’urgence, il était déjà trop tard. A 1h23 et 59 secondes, une énorme explosion a soufflé le toit de la salle du réacteur. Des débris de graphite incandescents sont tombés sur les bâtiments voisins et un nuage de particules radioactives s’est élevé à des kilomètres de hauteur dans le ciel nocturne.

L’étude a été financée par la Communauté européenne. Le rapport du groupe Allianz a été achevé en 1995. Il contiendrait plus de matériel que jamais auparavant. Certains éléments indiquent toutefois que le rapport se base davantage sur les chiffres officiels des autorités que sur ses propres recherches. On estime ainsi que plusieurs centaines de milliers de mètres cubes de matières radioactives se trouvent encore dans le réacteur, dont 40 000 mètres cubes de déchets hautement radioactifs, mélangés à 200 tonnes de combustible nucléaire.

Mais si c’était le cas, le sarcophage devrait être rempli à ras bord de matériaux radioactifs. Et Tchetcherov et ses hommes n’auraient probablement pas pu y accéder, du moins jamais sans une protection spéciale coûteuse. Ils auraient probablement subi certainement de graves dommages dus aux radiations sur le champ.

Tchetcherov : Une grande partie des idées reçues sur Tchernobyl n’a pas grand-chose à voir avec la réalité. Les gens qui travaillent à Tchernobyl connaissent bien sûr la vérité. Mais ils sourient aux efforts d’explication et gardent la vérité pour eux.

Présentatrice ARTE : … on a construit la centrale nucléaire de Tchernobyl dans une région dont on sait qu’elle est géologiquement stable.

Feliks Aptekaev, sismologue, Ukraine : Les opposants à la version sismique ont affirmé qu’il ne pouvait pas y avoir de tremblements de terre à cet endroit, car dans une structure géologique tabulaire aussi ancienne que celle de cette région, les tremblements de terre ne peuvent pas se produire.

Présentatrice ARTE : La station sismologique n’a effectivement enregistré qu’un faible séisme local. Un tel séisme aurait-il donc pu se produire à Tchernobyl ?

Qu’en disent les témoins oculaires ?

Tchetcherov : Lorsque l’accident s’est produit, tous les employés de l’équipe de nuit ont bien sûr été impliqués d’une manière ou d’une autre dans l’événement. Qu’ils aient été de service dans la salle de contrôle ou dans le hall des turbines, tous ont déclaré avoir ressenti quelque chose lorsque l’accident s’est déclenché. La plupart des gens se souviennent d’un grondement sourd, c’est ainsi que tout a commencé. Un bruit à basse fréquence et le sol a tremblé, les murs ont vacillé, le plâtre du plafond est tombé. Tout le monde s’en souvient. La terre semblait s’ouvrir sous eux. Certains ont même dit qu’ils avaient eu l’impression d’un tremblement de terre.

Présentatrice ARTE : 1990 : Un document de Kiev contient 20 témoignages oculaires, des rapports d’employés de la centrale qui étaient de service cette nuit-là. Ils ont témoigné : « La terre a tremblé avant que la catastrophe n’éclate. »

Le séisme de magnitude 2, détecté par les sismologues et confirmé par de nombreux témoins oculaires, a eu lieu quelques secondes seulement avant la catastrophe. Le documentaire de NDR-ARTE ne donne pas de réponse suffisante à ce séisme. Cependant, grâce aux explications du lieutenant-colonel Bearden, il est désormais possible de l’expliquer de manière concluante. En raison des conditions géologiques, il ne peut pas s’agir d’un tremblement de terre naturel, mais il a été produit par l’utilisation des armes électromagnétiques secrètes décrites ! Il s’est déclenché au moment où les dispositifs de sécurité ont échoué, ce qui a entraîné la décharge soudaine et incontrôlée de l’énorme quantité d’énergie résiduelle dans le sol. Quelques secondes plus tard, la centrale nucléaire a explosé. L’impression que le documentaire d’Arte donne, à savoir que le tremblement de terre pourrait être à l’origine de la catastrophe, est toutefois fausse, comme cela a été démontré. Les scientifiques allemands ont en effet apporté la preuve scientifique, dans l’étude BIBLIS-B sur l’énergie nucléaire, qu’il faut au moins 30 minutes pour qu’une fusion nucléaire de l’uranium se produise. C’est pourquoi le documentaire d’Arte ne s’explique finalement que par les déclarations de Tom Bearden, selon lesquelles la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl a été provoquée par un échange scalaire électromagnétique dans la guerre entre le KGB de l’Union soviétique et les Etats-Unis.

Présentatrice ARTE : Pourtant, aucune attention n’a jamais été accordée à ces déclarations intéressantes :

Tchetcherov : J’ai entendu un coup de tonnerre, une plaque est tombée du plafond.

Le sol a tremblé, la lumière s’est éteinte, l’éclairage de secours a sauté. Au bout de 30 à 40 secondes, nous avons entendu des bruits stridents au-dessus de nous, venant de la direction […].

Dans la rangée B, le toit s’est effondré. D’abord, une plaque est tombée, puis l’une après l’autre. Puis la lumière s’est éteinte.

D’abord le tremblement, les chocs et les secousses, puis la lumière s’éteint. Lorsque la lumière se rallume, la décision est prise d’arrêter le réacteur. C’est exactement ce qui s’est passé. D’abord les chocs et les coups, puis la décision d’arrêter le réacteur. C’est le point crucial. Par le trou dans le toit, je pouvais voir une lueur, pas un feu, quelque chose d’autre. Les murs de la salle de contrôle se sont mis à trembler, ainsi que le plafond et le sol. Après quelques secondes, une deuxième explosion. Un peu plus faible, mais c’est étrange comme tout s’est écroulé. Une lueur colorée qui s’élevait jusqu’à une centaine de mètres.

Présentatrice ARTE : Les récits des témoins oculaires et les résultats de Tchetcherov montrent clairement une chose : La déclaration publiée par les autorités soviétiques en 1986 était fausse. Des observations totalement surprenantes sont régulièrement faites.

Tchetcherov : On espérait par exemple que la coque en graphite et le cœur du réacteur seraient restés intacts – mais rien de tout cela, il n’y avait plus qu’un trou béant. On avait supposé que la cuve de bio-protection en forme d’anneau autour du réacteur était détruite, ou en tout cas fortement endommagée – mais cela aussi était faux. Elle était presque intacte, peu de dégâts. Sur une grande partie de sa surface, surtout à l’intérieur, même la peinture avait été conservée.

Werner Altnickel : Tout s’est passé en quelques secondes. Quand l’énergie de l’impulsion électromagnétique a activé et éjecté l’uranium. Dans le cas d’une fusion normale du cœur, le processus aurait été beaucoup plus lent et la peinture du conteneur aurait certainement brûlé. C’est allé si vite que l’inertie thermique du bio-conteneur a probablement empêché la peinture de brûler, même à l’intérieur de celui-ci.

Tchetcherov : On s’attendait à ce qu’une explosion dans le puits du réacteur détruise tout – mais rien n’était détruit. En revanche, de nombreux supports destinés à stabiliser la calotte en graphite avaient tout simplement fondu et brûlé. Et en observant de plus près ces morceaux fondus, il était clair qu’un effet de chaleur très particulier avait agi. Comme si un chalumeau avait brûlé les tuyaux. Oui, les tuyaux avaient l’air d’avoir été coupés par un poste à souder ou une torche à plasma. »

Werner Altnickel : Les tuyaux détruits comme par une torche à plasma ne peuvent s’expliquer de manière concluante que par le plasma résultant, par l’énorme énergie électromagnétique scalaire qui n’était plus interceptée par les installations de mise à la terre de sécurité défaillantes.

Présentatrice ARTE : Il est minuit, environ une heure et demie avant l’accident, des pêcheurs entendent des rumeurs sourdes

1h10 : Une apparition des plus étranges à un poste de garde à l’entrée du hall central. L’épicentre du tremblement de terre qui se prépare se situerait juste en dessous.

1h21 : En faisant sa ronde, le responsable du centre informatique aperçoit une lueur bleutée dans le hall central.

1:23:35 : Le tremblement de terre commence. Un grand fracas et le bloc 4 tremble.

1:23:40 : L’employé responsable remarque la secousse et appuie sur le bouton d’urgence. Les vibrations augmentent. Le premier choc puissant, des supports verticaux vacillent d’avant en arrière. Des plaques de plafond tombent. De nouveau la lueur. Des fenêtres éclatent dans la salle des machines. Une violente secousse sismique et le réacteur explose. Dix-sept minutes plus tard, un collègue enregistre une nouvelle explosion dans la salle de contrôle. Le tremblement de terre est terminé. Le sismographe n’a pas enregistré la deuxième explosion.

Tchetcherov : L’image des destructions dans les pièces du haut nous a fait réfléchir. Des ondes de choc ont dû faire rage là-haut ; peut-être même ont-elles été déclenchées là. Il y avait tout un tas d’incohérences pour nous, dont nous ne pouvions pas expliquer les causes au début.

Werner Altnickel : Dr. Sebastian Pflugbeil de la Société de protection contre les radiations, citations tirées du Strahlentelex, numéro 3623632002, consultable sur le site de l’IPPNW.

Pflugbeil dit : Tchetcherov est allé trois fois dans le puits du réacteur, où se trouvent normalement les éléments de combustible. Mais ses enregistrements vidéo montrent clairement qu’il n’y a de facto pas de combustible nucléaire à cet endroit. Où est-il passé ? Quelque chose a fondu vers le bas, mais très peu de chose. Hypothèse de Tchetcherov : tout le cœur du réacteur, un énorme bloc de graphite, comme un fromage troué, dans lequel sont insérés les tubes contenant les éléments combustibles et les barres de commande, a jailli comme une fusée vers le haut du puits du réacteur. Il a soulevé le couvercle de 2 500 tonnes qui recouvre le puits du réacteur. Le cœur du réacteur a volé à environ 40-50 mètres de hauteur et s’est partiellement vaporisé sur ce trajet. Ensuite, une explosion nucléaire a tout détruit et presque tout le combustible nucléaire a été rejeté dans l’environnement. Le lourd couvercle est à nouveau tombé et se trouve aujourd’hui en biais au-dessus du puits de réacteur. »

Vladimir Strakhov, Institut de géophysique de Moscou :

Mais il y a une pierre d’achoppement : Selon la version de Tchetcherov, la situation dans le réacteur aurait dû s’aggraver en 15-20 secondes au point de provoquer une explosion.

Tchetcherov : Le bloc 4 offre pourtant l’image suivante : Le métal en fusion a coulé sur le sol, a heurté un obstacle, s’est élevé rapidement et s’est solidifié en forme de grappe. On peut encore le voir aujourd’hui et, bien sûr, nous l’avons filmé. On peut estimer que le métal en fusion s’est écoulé à une vitesse d’environ 5 m/s. Donc un écoulement ni lent ni visqueux. Cinq mètres par seconde, c’est très rapide. Au cours de cette opération, le métal en fusion provenant du réacteur a parcouru au maximum 50 mètres. Le métal a donc coulé pendant une dizaine de secondes. Puis il s’est figé. Et souvent en position verticale, c’est-à-dire pendant qu’il s’écoulait vers le bas. Il n’a donc même pas eu assez de temps pour s’écouler sur le sol et s’y figer.

W. Strachow : A cela s’ajoute le fait que des personnes sont montés sur le réacteur détruit. On pensait bien sûr que l’intensité du rayonnement devait être énorme, puisque les matériaux radioactifs sont sortis du réacteur et se sont écoulés. Il s’est avéré que le rayonnement n’y était pas si fort. Bien sûr, les gens avaient revêtu des combinaisons de protection pour l’expédition dans les ruines du réacteur. Mais il est tout de même très surprenant qu’aucun d’entre eux ne soit mort. Apparemment, personne n’est sérieusement malade. C’est intéressant. Apparemment, presque rien des matières radioactives du réacteur n’a réussi à pénétrer dans le bâtiment. Pas même en chute libre vers le bas. Tout est allé trop vite.

Remarque de Werner Altnickel : Le mouvement d’écoulement rapide et de courte durée décrit ci-dessus et la solidification soudaine de la masse fondue prennent tout leur sens lorsqu’on se rend compte que l’apport externe d’énergie électromagnétique dans l’uranium, a agi violemment et pendant quelques secondes seulement. Cela signifie une activation violente et rapide des noyaux atomiques d’uranium et une fusion chaude et fluide avec une vitesse d’écoulement rapide et une solidification rapide au milieu de l’écoulement, lorsque l’énergie électromagnétique induite s’interrompt et que le feu électromagnétique qui l’attise de l’extérieur disparaît donc.

Selon les listes officielles du KGB, seuls 4 % de la charge du réacteur se seraient échappés et 96 % seraient encore dans les ruines. En fait, c’est probablement l’inverse. Presque tout s’est échappé et le réacteur est presque vide. Les scientifiques le confirment également. La masse fondue qui s’est échappée sous la cuve du réacteur, très chaude pendant une courte période, devait être principalement composée du métal d’enrobage, par exemple du zirconium pour l’uranium. L’uranium activé par un apport d’énergie externe a jailli brusquement vers le haut, à l’air libre, comme d’un tube de canon. Comme il n’y avait pratiquement plus d’uranium activé qui s’échappait en bas et qu’on ne pouvait guère mesurer les radiations, les gens pouvaient y monter sans mourir.

Lorsque les Soviétiques se sont aperçus qu’on tirait sur leur installation – depuis le camp américain – ils avaient encore réussi à évacuer dans la terre, pendant 24 heures, l’énergie qui avait donc été renvoyée. Mais au bout de 24 heures, ces mêmes systèmes de mise à la terre avec accumulateurs ont cessé de fonctionner, et n’ont pas réussi à contenir cette énorme énergie. Alors qu’ils avaient déjà dérivé pendant 24 heures, donc que seul un reste a réussi à faire exploser une centrale nucléaire, on peut imaginer ce qui se serait passé, si par exemple ils n’avaient pas eu un tel système de limitation – c’est-à-dire un système de dérivation dans la terre pour les ondes. Tout aurait alors explosé.

IX. L’importance de la révélation de Tchernobyl au regard de la situation mondiale dramatique actuelle

L’enquête de Werner Altnickel fait s’effondrer comme un château de cartes les déclarations officielles des gouvernements et de tous les médias dits dominants. Les super-armes scalaires décrites ont été perfectionnées par les armées et les services secrets depuis la « super catastrophe de Tchernobyl » il y a près de 40 ans et sont donc certainement beaucoup plus dangereuses aujourd’hui. Il a été prouvé que les États-Unis, en particulier, ont fait progresser, entre autres, les « manipulations climatiques et météorologiques » grâce à cette technologie secrète par le biais d’une gigantesque installation d’antennes HAARP en Alaska ou des technologies qui lui ont succédé.

Cette révélation de Tchernobyl soulève donc de nombreuses et graves questions, en particulier pour la situation mondiale actuelle très dramatique :

1. Les changements climatiques et les phénomènes météorologiques actuels, tels que la sécheresse extrême, les inondations, les tornades et même les tremblements de terre, etc. comme le confirme la « Convention ONU-ENMOD », sont-ils directement liés à ces super-systèmes d’armes militaires secrets ?

2. La panique actuelle concernant le CO2 n’est-elle qu’une manœuvre de diversion organisée à l’échelle mondiale pour pouvoir continuer à utiliser ces systèmes d’armes météorologiques sans que le public s’en aperçoive ?

3. Les centrales nucléaires sont-elles une bombe à retardement, car elles peuvent être attaquées à tout moment par ces systèmes d’armes secrets ?

4. Dans la perspective d’une escalade des foyers de crise actuels dans le monde, ces technologies d’armement secrètes représentent-elles une menace bien plus grande encore que les armes nucléaires ?

Chers téléspectateurs,

les dernières décennies ont montré que ni les États-Unis avec leurs États alliés, ni la Russie avec les États communistes n’ont intérêt à ce qu’on fasse la lumière sur ces systèmes d’armes scalaires qui menacent l’existence de l’humanité tout entière. Les médias publics ont totalement échoué dans leur mission et, de surcroît, ont persécuté les lanceurs d’alerte sincères en les traitant de conspirationnistes.

Ce documentaire important doit contribuer à ce qu’un débat public soit enfin organisé sur ces systèmes d’armes qui menacent l’existence de l’humanité.

La catastrophe de Tchernobyl du 26 avril 1986, non élucidée à ce jour, nous apprend que cela ne peut se faire qu’à partir du peuple. Le temps du dévoilement par des personnes éprises de vérité est arrivé ! Aidez-nous donc à faire connaître ce documentaire par tous les moyens. Diffusez cette vidéo bouleversante sur des plateformes sociales telles que Facebook, tiktok, Twitter, telegram, Instagram ou même par e-mail. Nous mettons également à votre disposition de courts extraits d’émissions à télécharger dans notre boîte d’information bleue sur www.kla.tv (pas en français). Ce n’est qu’en les diffusant activement qu’on pourra mettre fin aux agissements des criminels qui, aujourd’hui encore, utilisent ces armes dans l’ombre et sans être reconnus !

de alw

Sources / Liens : Informations sur Werner Altnickel MAGAZIN 2000plus / Nr. 317 https://www.anti-zensur.info/azk1/chemtrailshaarp
Documentation de la Bayrischen Rundfunks: 20 ans de documentation sur Tchernobyl de Nikolaus Geyrhalter (1999). Des déclarations explosives du Prof. Edmund Lengfelder https://martin-ebner.net/regions/eastern-europe/weissrussland-tschernobyl/
Développement d’une super arme militaire en Union soviétique MAGAZIN 2000plus / Nr. 317 Livre : « FER DE LANCE », Tom Bearden. Cherniere Press. Zweite Ausgabe 2002 https://fr.wikipedia.org/wiki/USS_Thresher_
(SSN-593) Une super arme militaire peut manipuler le temps ! www.kla.tv/28157
http://www.chemtrail.de/wp-content/uploads/2014/01/SOWJETISCHE-WETTERKONTROLLE.pdf
https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-4-1999-0005_DE.html
https://report24.news/doch-keine-spinnerei-haarp-in-eu-papier-als-klima-waffensystem-bezeichnet/
https://t.me/WernerAltnickelAbsicherung/3904
Tentatives de contrôle de l’armement de la super arme militaire https://www.nachhaltigkeit.info/artikel/uno_konferenz_stockholm_1972_688.htm
https://t.me/WernerAltnickelAbsicherung/3897
https://treaties.un.org/Pages/ViewDetails.aspx?src=IND&mtdsg_no=XXVI-1&chapter=26&clang=_en
https://t.me/WernerAltnickelAbsicherung/3905
https://t.me/WernerAltnickelAbsicherung/3903
https://fr.wikipedia.org/wiki/William_Cohen
La genèse top-secret du réacteur de la catastrophe de Tchernobyl Livre : „FER DE LANCE“, Tom Bearden. Cherniere Press. Zweite Ausgabe 2002. La réaction américaine à l’attaque russe Woodpecker Livre : „FER DE LANCE“, Tom Bearden. Cherniere Press. Zweite Ausgabe 2002. La vraie raison de la catastrophe de Tchernobyl Livre : „FER DE LANCE“, Tom Bearden. Cherniere Press. Zweite Ausgabe 2002. https://www.peterdavidbeter.com/
https://en.wikipedia.org/wiki/Peter_Beter
https://t.me/WernerAltnickelAbsicherung/3906
Les scientifiques russes réfutent la théorie officielle de l’histoire de Tchernobyl ! NDR/arte-Koproduktion Dokumentation: (1997/1998): „Der wahre Grund von Tschernoby?“ Buch und Regie: Bente Milton, Deutsche Fassung: Falk Wienecke, Deutsche Erstausstrahlung: arte, 21.09.1998 zu finden unter dem Link: https://www.kraftzeitung.net/video/dokumentation/der-wahre-grund-von-tschernobyl/alle-seiten.html
https://t.me/WernerAltnickelAbsicherung/3919
La signification de la révélation sur Tchernobyl au regard de la situation mondiale dramatique actuelle www.kla.tv/28646
http://www.chemtrail.de/fortlaufende-diffamierungs-pressekampagne-gegen-werner-altnickel

Source : KTV



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