Quel est le rapport entre la 5G et l’oxyde de graphène et la nanotechnologie dans les vaccins Covid ? Interview avec Ricardo Delgado Martin

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Par Kla Tv

La recherche scientifique et les rapports faisant état de dommages graves causés par les vaccins confirment les conclusions inquiétantes concernant les ingrédients des vaccins. Entretien avec le biostatisticien Ricardo Delgado Martín sur l’oxyde de graphène et la nanotechnologie dans les vaccins Covid : qui a ordonné l’inclusion de ces substances toxiques et quel est leur rapport avec la technologie mobile 5G ? Comprenons-nous mieux maintenant l’Agenda 2030 et le plan du Forum économique mondial ?

Kla.TV : Très bien, alors commençons. Bienvenue Ricardo Delgado Martin. Une brève présentation de vous. Ricardo Delgado Martin est le fondateur et le directeur de « la Quinta Columna » (La Cinquième Colonne). Il est diplômé en biostatistiques de l’Université de Séville. Il est titulaire d’un Master en Biostatistiques, diplômé d’études universitaires supérieures en Biologie de la Santé, en Microbiologie Clinique, en Épidémiologie et Immunologie Clinique appliquées, à l’Université Européenne Miguel de Cervantes. C’est également un expert universitaire en génétique à la clinique de l’Université Antonio de Nebrija. Il a un Certificat de contribution scientifique de l’Université de Séville et un Master de troisième cycle en psychologie de l’enfant, un Master en banque et finance de l’Institut supérieur des techniques et pratiques bancaires. Master en formation personnelle, autrement dit, un grand dossier complet.

M. Delgado : Merci Angel pour l’invitation, merci également à la chaîne

Kla.tv pour la possibilité de présenter nos recherches.

Kla.TV : Ricardo, si vous deviez vous décrire, qui est Ricardo Delgado Martin selon vous ?

M. Delgado : En fait, puisque l’être humain est probablement soumis à une évaluation et à un changement constants, nous pouvons dire qu’une personne, proche de l’éveil, dans le sens où nous avons réalisé, nous avons constaté que le monde dans lequel nous vivons n’est pas exactement celui qu’on nous a dit. A partir d’un certain moment, j’ai dû laisser de côté tous les grands dogmes et paradigmes officiels qui viennent de ce qu’on appelle la science.

Kla.TV : Qu’est-ce que la biostatistique ?

M. Delgado : La biostatistique est une branche des statistiques, qui est elle-même une branche des mathématiques, une science exacte, et il s’agit plutôt d’un sujet d’épidémiologie appliqué au domaine de la santé. C’est pratiquement la même chose, ce sont des synonymes.

Kla.TV: Très bien. Comment vous est venue l’idée de fonder la plateforme « La Quinta Columna » ?

M. Delgado : Cela provient du besoin urgent de former un collectif humain, un groupe d’êtres humains conscients qui ne partagent absolument pas la réalité qu’ils veulent peindre avec ce soi-disant agenda 2030. Puis, à partir de là, petit à petit, la chaîne s’est développée de manière exponentielle, surtout lorsque nous avons décidé d’analyser les flacons, d’abord de Pfizer, puis ceux d’Astra Zeneca, de Moderna et également de Johnson. Dès lors, nous avons, en toute logique, commencé à fournir des informations basées sur l’observation, et à laisser de côté tout ce qui provenait de la version officielle et des articles scientifiques des laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes.

Kla.TV : J’avais justement cette question : Quelle est votre mission, mais vous avez déjà répondu à cette question. Je suppose que c’est la reconnaissance de toutes ces incohérences et de ces doutes, etc., c’est ce que j’imagine.

M. Delgado : À partir d’aujourd’hui, nous pouvons énoncer encore plus clairement la mission de la « Quinta Columna . Il s’agit littéralement de sauver autant d’êtres humains que possible. Car là où ils veulent nous emmener, cela va de la perte de toute forme d’identité et d’humanité intrinsèque, au transhumanisme ou à l’extinction de l’espèce humaine, telle que nous la connaissons.

Kla.TV : Pourquoi pensez-vous qu’il n’y a pas plus de biostatisticiens comme vous, ou de personnes dans le monde de la recherche ? Une science dédiée à ces sujets qui analyse et recherche ce sujet concernant le vaccin et l’épidémie, etc.

M. Delgado : Il y en a, le problème est que ceux qui savent se taisent, et c’est ce silence complice qui cause la perte d’un grand nombre de vies, et le reste justement obéit et travaille pour le système, bien sûr avec de grosses sommes d’argent sur la table, l’argent du sang, pour le dire précisément.

Kla.TV : Eh bien, si nous revenons au début des événements, c’est-à-dire à tout ce que nous avons vécu à travers la prétendue pandémie, comment pourrait-on mieux expliquer, ou présenter ainsi à travers les médias officiels, ce qui nous a été dit, ou ce qui ne nous a PAS été dit, dans ce sens ?

M. Delgado : Eh bien, on nous a dit que tout est la conséquence d’un coronavirus qui n’existe pas et que nous avons donc une pandémie, mais la réalité est évidente : un composé chimique toxique a été introduit à l’intérieur du corps, il s’agit d’un génocide. Premièrement, il y a la campagne contre la grippe pour les maisons de retraite puis ensuite vers l’ensemble de la population mondiale. Par conséquent, si nous introduisons un composé chimique qui a une capacité radio modulable qui agit à l’intérieur du corps comme un agent pathogène, nous parlons d’un acte prémédité et conscient, et bien sûr, d’un génocide et non pas d’une pandémie. C’est la raison pour laquelle ils peuvent savoir exactement avec une précision absolue lorsqu’il va y avoir une vague, une deuxième, une troisième qu’ils appellent « variants », et qui n’est qu’une justification des décès causés et de la maladie avec ce qu’ils appellent des vaccins, qui, logiquement, n’en sont pas du tout.

Kla.TV : D’accord. A partir de quel moment, ou plutôt à quel moment avez-vous vraiment commencé à soupçonner que quelque chose n’allait pas ? À quel moment avez-vous eu ces doutes ou commencé à ne plus trouver de logique dans tout ce qu’on nous raconte et dans ce que nous vivons ?

M. Delgado : Eh bien, pratiquement depuis le début. Au départ, nous pensions qu’il pouvait effectivement exister un type d’agent biologique qui n’était pas ce qu’on nous avait dit. Nous avons commencé à analyser les chiffres en utilisant précisément ceux que peuvent donner les schémas épidémiologiques, nous avons fait des comparaisons avec la grippe saisonnière commune et nous avons pris en compte les contre-mesures qui étaient prises et nous avions également celles de la fameuse grippe A de 2009/2010. Tout cela nous a fait soupçonner qu’il y avait derrière cela une opération majeure : le célèbre Event 201 organisé à New York le 18 octobre par la Fondation Bill et Melinda Gates, l’Université John Hopkins et le Forum économique mondial, et c’est très important. Tout cela était très suspect, et d’autant plus lorsque nous avons analysé le vaccin, c’est-à-dire lorsqu’ils ont commencé à l’injecter et que nous avons vu d’abord l’effet magnétique exacerbé, d’abord dans la zone d’injection, puis propagé à la zone du plexus solaire supérieur, et enfin à la tête qui est le tissu électriquement conducteur du corps. Nous avons donc commencé à voir qu’il pouvait réellement y avoir un matériau ou un nanomatériau qui était injecté à l’homme, et sur la base de tout ce que nous savions déjà, nous en sommes venus à l’hypothèse, avec d’amples indications, qu’il s’agissait d’un dérivé du graphène et enfin nous l’avons prouvé par une analyse préliminaire puis par une analyse finale que nous développerons un peu plus tard.

Kla.TV : Nous avons donc entendu dire que jusqu’à présent, le virus du SRAS Cov2, c’est-à-dire le virus censé causer ce COVID 19, n’a jamais été isolé ni séquencé. Que signifie isoler ou séquencer un virus ?

M. Delgado : Dans ce nouveau cas, le séquençage et l’isolement d’un agent biologique viral de type Covid signifierait avoir la séquence exacte des nucléotides et la combinaison de toutes ces paires qui ne donnaient pas l’impression qu’il s’agissait de 29 800, ou environ 30 000 paires de nucléotides. C’est un format ADN, c’est-à-dire qu’il n’y en a pas. Ce que vous avez est une construction virtuelle assemblée avec un algorithme informatique qui s’appelle aussi MUSCLE, c’est-à-dire que ce sont des virus en silicium ou des virus chimériques, c’est comme ça qu’ils s’appellent, ils n’existent que dans l’ordinateur.

Le SRAS Cov2 n’existe pas dans la nature. Ils ont extrait du matériel génétique du mucus de 3 patients atteints de pneumonie ou de 3 patients décédés de pneumonie à Wuhan, précisément différents types de pneumonie, et ils ont essayé de faire une séquence, mais avec seulement une graine initiale, et ils ont extrapolé à partir de là, mais ils n’ont pas eu besoin de le faire, ils ont des logiciels informatiques ! Mais pas seulement avec cet agent biologique, mais aussi avec tous les précédents. Il n’existe donc aucune véritable connaissance du séquençage de la nature du SRAS Cov2. Personne ne l’a. S’ils l’avaient eue, ils auraient fabriqué un vaccin traditionnel atténuant l’agent. Il n’existe pas non plus de laboratoire capable d’en avoir une culture et il existe déjà environ 180 institutions dans le monde dont le ministère de la Santé, les institutions universitaires de tout type, etc. mais aucune ne dispose de séquençage du SRAS Cov2. Néanmoins, ils se permettent de nous renseigner sur les variants et sous-variants !

Kla.TV : Exactement, donc à un moment donné de l’histoire, à notre connaissance, y a-t-il eu le séquençage d’un virus quelconque ? D’une manière générale, sait-on que certains virus, par exemple, Ebola ?…

M. Delgado : Il est possible qu’il y en ait un, Angel, il est possible qu’il y ait un véritable séquençage d’un agent biologique, parce que nous devons également nous demander si ce que nous appelons virus est la conséquence de maladies ou la cause de maladies plutôt que le produit. Il est probable que la virologie actuelle est littéralement découpée et jetée à la poubelle. Nous avons fait croire à tout le monde en fonction des intérêts pharmaceutiques, d’abord la Fondation Rockefeller et maintenant la Fondation Bill et Melinda Gates qui prend le relais, que ce que nous appelons virus ou agents viraux sont la cause de la maladie, alors qu’ils en sont très probablement la conséquence. Et la maladie est causée par des phénomènes de radiation, d’intoxication, etc. comme c’est le cas comme nous allons le voir maintenant avec ce qu’on appelle Covid19.

Kla.TV : Alors dès le début il faudrait, comme ils disent, prendre avec des pincettes, qu’il y a peut-être un virus de la grippe, de la variole, de la rougeole, du SIDA, d’Ebola, etc. Je ne sais pas vraiment, si cela en soi a été, comme jamais auparavant, séquencé ou isolé, comme vous dites.

M. Delgado : Et il n’y a pas non plus de mythe de contagion en tant que tel, et de plus, il n’a jamais été établi qu’une personne soi-disant infectée par la grippe puisse contracter ou transmettre la maladie à une autre personne par voie aérienne, car il a été démontré que l’information voyage, l’information génétique en tant que messager d’alerte, c’est-à-dire que ce que nous appelons le Coronavirus – ces types d’agents viraux, sont probablement des messages d’alerte inter-espèces pour alerter qu’il existe un phénomène tel que les ondes, qui affecte tout le monde. Le virus synthétise alors une protéine qui va protéger l’individu, non pas pour le tuer, mais pour le protéger.

Kla.TV : Afin de préparer l’organisme et le corps humain à réagir d’une certaine manière ou sous une certaine forme.

M. Delgado : Exactement, mais ce qui le tue ou le rend malade, c’est les ondes. Il est probable que la grippe commune est saisonnière, il s’agit probablement d’une sorte de rayonnement solaire naturel qui est par exemple, typique en hiver.

Kla.TV : Nous posons la question automatiquement, par exemple concernant les vaccins qui nous ont été administrés depuis des générations, qu’est-ce qui a vraiment été injecté à l’être humain, si toutes ces causes virales n’ont vraiment aucune justification ou n’existent pas en tant que telles ?

M. Delgado : Je vais vous répondre très rapidement : le mercure sous forme de thimérosal a augmenté la prolifération d’enfants souffrant de troubles nerveux. L’aluminium, c’est précisément à cela que le corps réagit de manière allergique et non à aucun virus atténué, est responsable d’une épidémie d’autisme depuis précisément le moment où il a commencé à être injecté. Dans les vaccins traditionnels dont nous parlons, il existe des solvants qui sont censés dissoudre la membrane lipidique cellulaire, de sorte que l’adjuvant rend le vaccin plus efficace. C’est ce qu’ils nous disent. Des détergents tels que le Polysorbate 80 et le Triton X 100 ont été introduits dans les vaccins traditionnels, mais maintenant il existe ce qu’ils appellent la technologie de l’ARN messager. Il n’y a pas d’ARN messager du tout, la seule chose qui existe est la micro technologie et le graphène. Le graphène est un autre matériau particulièrement toxique à l’intérieur du corps qui s’ajoute à toute cette opération machiavélique qui dure depuis longtemps.

Kla.TV : Très bien, en ce qui concerne cet agent toxique, l’oxyde de graphène dont vous parlez, que provoque exactement l’oxyde de graphène dans l’organisme humain ?

M. Delgado : La première chose que nous devons comprendre est que lorsque l’oxyde de graphène est à l’intérieur du corps en contact avec des cellules vivantes, il a un comportement magnétique exponentiel, c’est pourquoi nous avons envoyé depuis “La Quinta Columna” un message lorsque nous avons vu de nombreux cas autour de nous. Le phénomène typique où des cuillères et des objets métalliques se collaient carrément sur la zone de la piqûre et ensuite, comme je l’ai dit, dans la zone de la poitrine et de la tête, mais c’était aussi mesurable et ça l’est toujours avec des appareils de mesure électromagnétiques comme celui-ci. Ils émettaient de fortes sources de rayonnement électromagnétique. Nous savons donc que le graphène augmente le signal des antennes téléphoniques en Gigahertz et, avec l’effet transistor, les convertit ou les transfère en Terahertz, afin précisément qu’une micro technologie qui se trouve à l’intérieur du vaccin puisse fonctionner. Le graphène dans le corps entier active la coagulation sanguine, il est utilisé pour réduire les plaquettes et activer la coagulation et il a donc un effet thrombosinopénique.

Toutes sortes de maladies apparaissent suite aux thromboses générées par la coagulation due au graphène qui favorise les dommages causés par les ondes. Et les ondes génèrent déjà l’effet de bobine, en empilant les globules rouges, les érythrocytes. Si le graphène l’augmente, vous aurez un effet cumulatif sur la coagulation, en conséquence, il va y avoir des AVC, des embolies, toutes sortes de phénomènes d’accidents cardiovasculaires et cérébrovasculaires, des embolies également en cas de manque d’approvisionnement en sang. Mais le graphène est aussi mutagène à l’intérieur de l’organisme, il a la capacité de moduler des gènes, il génère de la mutagenèse, des altérations chromosomiques et des cancers. Il génère également l’infertilité masculine et féminine. Dans le sperme masculin, il affecte la motilité des spermatozoïdes et génère la stérilité dans pratiquement toute la population, la neurodégénérescence aussi et bien sûr, le cancer mais aussi des arythmies dans le cœur car c’est un matériau supraconducteur et il va se loger précisément là où le magnétisme est provoqué, c’est-à-dire dans le système nerveux central formé par la moelle épinière et les neurones. Dans la tête comme je dis, c’est la neurodégénérescence. Il a plus de capacités dont nous verrons plus tard le but final, et lorsqu’il entre en activité électrique dans le cœur en raison de l’activité cardiaque, le graphène va y être dirigé, agissant comme un supraconducteur, et c’est ce dont il s’agit. Donc, tout le monde connaît déjà les batteries au graphène. Le graphène est aussi un condensateur énergétique : il va stocker l’énergie qu’il reçoit de son environnement, notamment des antennes de téléphonie mobile. Il reçoit cette énergie et peut la décharger. S’il génère des décharges dans le cœur, cela aura pour effet de perturber le rythme cardiaque, provoquant un évanouissement dû au manque d’irrigation cérébrale et, par conséquent, un collapsus, une syncope, un évanouissement, une arythmie avec mort subite et brutale, et c’est également ce que nous voyons aujourd’hui. Et j’oublie l’essentiel : à moyen terme, le graphène est radio dépendant, c’est-à-dire qu’il va absorber le rayonnement micro-onde et en multiplier à la fois la fréquence et ses dégâts. Dès qu’il pénètre dans l’organisme, il commence à libérer des radicaux libres. Le moment venu, il va dépasser un certain seuil du système immunitaire et générer ce qu’on appelle une tempête de cytokines, la fameuse tempête de cytokines à l’intérieur du corps. Comme il s’agit d’une substance toxique, le système immunitaire réagit par une inflammation pour tenter d’empêcher la prolifération de la substance toxique, donc une inflammation systémique ou multi-organique. La tempête de cytokines est éliminée par les poumons. Dieu merci, le corps humain a la capacité de l’éliminer, mais une fois irradié dans les poumons, il génère une pneumonie bilatérale. Nous avons donc déjà un Covid-19 sévère. Le vrai Covid.

Kla.TV : Puisque nous parlons d’un syndrome aigu d’irradiation, selon certaines émissions que je vous ai entendu citer, il n’y a pas de législation au niveau de chaque pays, sur la quantité qui peut être émise, ni sur les antennes : quelles valeurs peuvent être émises afin qu’elles n’affectent pas les êtres humains, la santé humaine. Savez-vous quelque chose à ce sujet ? Parce que bien sûr, nous parlions il y a des années d’antennes 2G, 3G, 3G+, 4G, mais à un moment donné, j’imagine que ce rayonnement est évalué de manière à ce que nous puissions savoir s’il est nocif ou non. Jusqu’où peut-on dire qu’il est nocif et qui peut nous protéger de ces ondes ? Officiellement parlant, à qui devrions-nous nous adresser ?

M. Delgado : Eh bien, en théorie, aux organismes du comité des radiofréquences dans notre pays par exemple en Espagne ou au Conseil de l’Environnement. Les valeurs qui causent des dommages ces derniers temps dépassent même 500 et mille fois celles autorisées dans notre pays. Les chiffres changent ou varient un peu d’un pays à l’autre au sein de l’Union européenne, mais ceux qui sont déjà donnés comme autorisés dépassent de loin ceux qui affectent la biologie humaine. Par exemple, j’ai là en ce moment si vous regardez l’écran, je ne sais pas si vous voyez quelque chose… enfin, les volts par mètre ou en microwatts par cm², c’est 13, à l’intérieur de la maison il faudrait que ce soit 0,1, c’est-à-dire qu’on parle de 130 fois plus. Maintenant, même si nous avons mis du tissu antiondes sur cette fenêtre et de l’autre côté à l’arrière, je veux dire, c’est fou, ils ont transformé le monde en une soupe électromagnétique. Si nous introduisons également à l’intérieur du corps un matériau qui élève le rayonnement de 3 magnitudes d’onde, qui convertit le Gigahertz des antennes téléphoniques en Terahertz, et c’est précisément là que fonctionne la micro technologie que nous avons également trouvée dans le vaccin, alors nous avons un effet aigu, le syndrome d’irradiation. C’est pourquoi la symptomatologie et le tableau clinique du syndrome aigu d’irradiation correspondent exactement au syndrome Covid. Et un syndrome d’irradiation chronique résultant du fait que la personne ou l’individu est constamment irradié est ce qu’ils ont appelé Covid long. Covid long ou Covid persistant.

Kla.TV : En parlant de radiations et de virus, comment expliqueriez-vous ce qui s’est déroulé en 1918 ou 19, je pense à la fameuse grippe, la grippe espagnole, je veux dire, que s’est-il passé alors ? Parce que si nous regardons parfois dans les livres d’histoire, nous voyons des gens avec des protections, avec des masques, etc. Que s’est-il passé, que s’est-il passé exactement à ce moment-là ?

M. Delgado : Eh bien, c’est à ce moment-là que les premières ondes radio du spectre électromagnétique ont commencé à être émises globalement et massivement impactant la biologie humaine. A ce moment-là, il y a eu la première altération globale de l’être humain ; en fait, elle a commencé précisément dans les casernes militaires des États-Unis qui ont été le foyer de la prétendue épidémie de ce qu’ils ont appelé le virus H1N1 de la grippe espagnole, ou son variant à ce moment-là. Tout a commencé là, chaque fois qu’il y a eu un saut technologique avec une nouvelle émission de rayonnement micro-ondes. Dans ce cas déjà, nous avons eu une épidémie ou ce qu’ils ont appelé une pandémie. La pandémie de Hong Kong est liée à la pandémie de 1958, qui elle aussi correspondait à une nouvelle émission radiofréquence. La 4G, la 4G+ a coïncidé avec la grippe de 2018. Je me souviens qu’en 2018, le Covid-19 était déjà apparu, au cas où vous ne le sauriez pas, des pneumonies bilatérales sont apparues, des inflammations sur tout le corps pire qu’en 2020. En 2018, selon toute vraisemblance, ils ont déjà introduit du matériel radio modulable avec le vaccin contre la grippe et l’irradiation qui s’en est suivie avec la 4G+. Là, ils ont vu que cela fonctionnait, et lors de la campagne suivante, la campagne 2019-2020, ils ont globalement donné le vaccin à teneur réduite en oxyde de graphène contre la grippe aux personnes âgées dans les maisons de retraite, ce que le Dr Campra a découvert par la suite.

Kla.TV : Alors, parlons encore de la grippe espagnole, de cet événement très connu. C’est arrivé et il n’y avait pas de vaccins, il n’y avait absolument rien de cela. Comment se fait-t-il que l’être humain ait la capacité de s’adapter à cela ? Et pourquoi tout à coup, après qu’un nombre effarant de personnes soient mortes soi-disant à cause de la fameuse grippe, que s’est-il passé là, c’est-à-dire comment les êtres humains ont-ils pu s’adapter ? Parce que je comprends donc que les antennes émettaient toujours. C’est-à-dire que notre capacité d’adaptation nécessite un certain temps chez la plupart des gens, mais bien sûr, comment pourrait-on mieux expliquer cela ? Chaque fois qu’il y a une nouvelle radiation, un élargissement du spectre se produit, à partir de ce moment-là, nous avons plus la possibilité de tomber malade ou de ne pas nous adapter, et peut-être que seuls certains sont capables de faire face à cette nouvelle exposition, pour ainsi dire.

M. Delgado : Lorsqu’il y a une nouvelle altération de l’environnement, certains survivent, résistent et d’autres meurent, comme c’est le cas dans la nature. Sauf que cela ne correspond pas à la nature, il s’agit d’une nouvelle altération artificielle du milieu. Dans le concept de l’épigénétique, c’est une adaptation par la modulation rapide des gènes, on pense alors à tort qu’on a affaire à un virus ou Coronavirus, qui mais ce n’est qu’une réadaptation de notre ADN par une protéine de synthèse lorsqu’elle est soumise ou irradiée dans ce cas avec une nouvelle longueur d’onde qui n’est pas celle du tissu normal, celle naturelle du soleil par exemple.

Kla.TV : Alors ce nouveau rayonnement, la 5G, en quoi est-elle clairement différente de la 2G ou de la 3G, c’est-à-dire quelle est l’ampleur ou de quoi parlons-nous en comparaison ?

M. Delgado : Eh bien, il n’y a absolument aucune comparaison possible avec quoi que ce soit. Depuis la 4G+ et surtout la 5G, outre le fait qu’il y a infiniment plus d’électricité ambiante artificielle, infiniment plus de millions d’antennes placées partout dans le monde, il y a un nombre exponentiel élevé de volts par mètre qui traversent la biologie humaine, le règne végétal et tous les êtres vivants en général. Nous voyons également des oiseaux tomber lorsqu’ils changent de fréquence. Surtout, ils tombent en ayant fondu et d’ailleurs, certaines antennes de téléphonie mobile brûlent à cause des ondes qu’elles émettent. On parle aussi de micro-ondes, mais avec beaucoup plus de puissance et également au format AX. Autrement dit, c’est un rayon. La 5G est scalaire et millimétrique, elle envoie un faisceau directement vers la personne qui se connecte ou possède un smartphone. Mais ce n’est pas seulement vers le téléphone, c’est aussi vers les gens, d’après ce que nous savons maintenant.

Kla.TV : Mais ce faisceau dont vous parlez, et auquel vous faites référence, cela signifie qu’il n’émet pas toujours. Je veux dire, ce que j’ai du mal à comprendre c’est qu’une antenne normalement si elle fonctionne, elle est censée émettre en permanence, et si elle est en 5G, en quelque sorte, elle devrait toujours émettre. Mais vous me dites que peut-être, ce n’est pas sa finalité, ce n’est pas de diffuser en permanence mais de diffuser seulement à une certaine heure de la journée, à une certaine heure, je ne sais pas. C’est ce que je n’ai pas….

M. Delgado : Ce faisceau, il émet toujours dans un format vectoriel à gradient directionnel, c’est-à-dire qu’il y a un courant qui vous traverse constamment. Mais si un certain type d’appareil électronique doit être connecté à cette fréquence parce que c’est un objet intelligent, par exemple, une couche de bébé intelligente, elle va nous dire quand elle est mouillée ou non, si l’enfant a fait ses besoins ou pas. Dans ce cas, la couche reçoit un faisceau pour tirer cette information automatiquement ou parce qu’elle est requise par l’utilisateur et bien sûr, ce faisceau est une impulsion électromagnétique qui est peut-être aussi la chose la plus dangereuse. Les changements brusques sont les plus dommageables. Ainsi, lorsqu’une personne entre à l’intérieur d’un supermarché avec un certain niveau de rayonnement, elle est protégée par les murs. C’est la raison pour laquelle nous constatons de nombreux évanouissements et syncopes à la sortie des supermarchés, où il y a aussi beaucoup d’ondes.

Kla.TV : Alors pour lui donner un nom, nous parlerons donc d’une dose que nous recevons, une dose supérieure à ce qui est sain, à laquelle le corps humain pourrait s’adapter, c’est ça en quelque sorte ?

M. Delgado : Exactement. Des doses mesurées en milli sievert, c’est-à-dire que le rayonnement est nocif, soit sous forme d’impulsions, soit à moyen terme, parce que la dose de rayonnement qui s’accumule est absorbée par les tissus. C’est ce qui finit par générer des cancers qui prolifèrent. C’est ce qui finit par générer tout type de… Tous les dommages causés par les ondes sont précisément ce qui a été décrit comme étant le Covid 19, et ses variants respectifs, car il s’agit d’un syndrome aigu de radiation. Lorsque nous avons vu les études officielles où le syndrome d’irradiation aiguë était comparé au Covid 19… le problème est qu’ils ne l’ont pas vu comme un agent causal, comme la véritable cause, parce qu’ils ne savaient pas, ou ils n’étaient pas conscients que ce dérivé du graphène, l’oxyde de graphène réduit, a été introduit, ce qui augmente les dommages causés par les ondes. En fait, même si c’est proche du rayonnement Tcherenkov, c’est-à-dire environ mille fois plus, le graphène augmente les dommages causés par les rayonnements. Et tout ce que je dis est tiré d’articles scientifiques que j’ai collectés dont le projet CORDIS de l’Union européenne, et nous pourrons continuer plus tard.

Kla.TV : Alors juste pour revenir un peu en arrière, Wuhan, quand toute cette histoire macabre a commencé, pour ainsi dire, est-ce là que le rayonnement 5G a été émis pour la première fois ?

M. Delgado : Exactement en novembre, fin novembre 2019, à Wuhan, cela a coïncidé, avec l’apparition de ce qu’ils ont appelé un coronavirus inexistant, comme nous l’avons dit dans l’introduction, avec la simple mise en œuvre de la technologie 5G dans une ville de 11 millions d’habitants qu’était Wuhan. Vous me direz que c’est une coïncidence que la prétendue épidémie de coronavirus apparaisse à Wuhan, au même moment et au même endroit où cette technologie a été mise en œuvre pour la première fois avant la vaccination de tous les Chinois contre la grippe ; il faut aussi dire que dans le vaccin contre la grippe, il y avait déjà ce matériau, l’oxyde de graphène, qui est également répertorié dans les brevets.

Kla.TV : Ok, ce que vous venez de dire est très intéressant, ou très inquiétant, comment mieux le dire ? Nous avons entendu parler de l’analyse du Dr. Campra qui a trouvé de l’oxyde de graphène. Comment et pour quelles raisons la recherche sur les composants des différents vaccins a-t-elle commencé, c’est-à-dire, quelle en était la raison exactement ?

M. Delgado : Eh bien, le Dr Sevillano, qui est un membre important de la Quinta Columna et qui nous accompagne tous les soirs dans les émissions en direct, a déclaré : « Quand ils commenceront à injecter les personnes, nous réaliserons vraiment ce qui se passe. » Jusque-là, nous savions que des personnes tombaient à proximité des antennes de téléphonie mobile ; en effet, 8 antennes sur 10 ont été placées dans les maisons de retraite, on comprend maintenant pourquoi. Nous sommes allés jusqu’à estimer la mortalité en Ehpad. Un autre cofacteur était le vaccin contre la grippe. Il y a eu certains rapports, comme celui de Barbastro, une région ici à Teruel en Espagne, et nous avions noté que pratiquement tous ceux qui n’avaient pas été vaccinés contre la grippe avaient survécu. Il y a eu une mortalité très élevée liée au Covid-19 pour ceux qui ont été vaccinés contre la grippe et une morbidité également due à la maladie. Il y avait des maisons où 80 personnes âgées sont mortes en 4 heures. Aucun agent biologique ne peut faire cela, pas même Ebola mais les ondes, si…

Kla.TV : Disons, la coïncidence, appelons ça une coïncidence, je ne sais pas… En même temps, il est difficile de penser que ce soit un agent infectieux, qui est la version officielle donnée par certains, qui puisse provoquer une telle chose dans un tel groupe.

M. Delgado : Ce n’est pas la façon dont nous voyons les choses, ni les médecins ni le personnel sanitaire qui ont vu la situation ; beaucoup d’entre eux sont d’accord avec la thèse de la Quinta Columna. Je précise avec la thèse, pas l’hypothèse. Mais quand ils ont commencé les injections et que le phénomène magnétique s’est aggravé, on s’est rendu compte que ce matériau était magnétique, que c’était un conducteur, un supraconducteur et que c’était un condenseur énergétique. De plus, il dégageait des différences de potentiel, une tension importante dans la tête des personnes inoculées. J’ai pu précisément faire l’expérience avec mes parents et avec un multimètre, des courants alternatifs jusqu’à 0,3 et 0,4 Volts sont apparus. C’était fou. Ils pouvaient même allumer une petite LED. Ensuite on a cherché les matériaux : il y en avait un autre aussi, c’était une merveille, c’était le matériau miracle, c’était le graphène, c’était tendance, c’était magnétique à l’intérieur du corps, c’était un supraconducteur, c’était un condensateur d’énergie : il servait pour les futures batteries et il avait également des applications biomédicales dans le domaine des neurosciences qui sont le but de ce fameux transhumanisme qui a suivi. Nous avons reçu un flacon de Pfizer, grâce à la médiation de Rafa Navarro, un policier d’Alicante. Nous étions à un point intermédiaire, la transitivité bien sûr, nous avons fait appel à certaines universités et au Dr Campra, professeur à l’Université d’Almeria. Le Dr Campra de Madrid, diplômé en sciences chimiques mais aussi en sciences biologiques, était responsable de la recherche. Nous lui avons dit : Recherchez comme hypothèse ou soupçon, un dérivé du graphène dans l’échantillon. Et effectivement une semaine plus tard, même s’il doutait au départ qu’il puisse y avoir ce matériau, il nous a dit : Félicitations ! C’est probable. Il existe très probablement des preuves sérieuses de la présence d’un dérivé de graphène dans l’échantillon provenant du rapport préliminaire qui consistait en une analyse microscopique à transmission, une analyse par microscopie électronique TEM, S-TEM et une compatibilité de séquence de lumière ultraviolette. Mais ce n’est que 4 mois plus tard, que non seulement un flacon de Pfizer mais aussi 7 flacons de 4 marques différentes (Pfizer, Astra Zeneca, Moderna et Janssen) qui sont les plus commercialisés dans notre pays, ont été soumis à une Micro Technique Raman qui donnait déjà les pics caractéristiques de tous les matériaux du point de vue physique. Et l’oxyde de graphène réduit est apparu sans équivoque et de manière concluante.

Kla.TV : Dans tous les échantillons de différentes marques ?

M. Delgado : Dans chacun d’eux. Dans chacun d’eux. Cette matière est assez abondante dans le corps, mais qui plus est, voici la partie inquiétante. Le graphène est l’explication de ce qu’ils ont appelé le syndrome Covid et toutes les morts immédiates et subites auxquelles nous assistons, en dehors de tous les cas de cancer de nos jours. Mais nous avons dit que le graphène lié au domaine des neurosciences est utilisé pour convertir le signal Gigahertz en Terahertz. L’effet secondaire est le syndrome Covid. Mais ces Terahertz sont utilisés pour les micro et nanotechnologies afin qu’ils puissent fonctionner, c’est-à-dire à l’échelle nanométrique et micrométrique. A cette très petite échelle, ces appareils dans le domaine des nanocommunications et des réseaux intracorporels ne peuvent que travailler dans le groupe Terahertz. C’est la raison pour laquelle ils ont introduit l’oxyde de graphène dans tout le corps.

Kla.TV : La batterie, l’énergie nécessaire au fonctionnement de cette nanotechnologie.

M. Delgado : Exactement, même si cette énergie a généré la mort de millions de personnes et une épidémie qu’ils ont qualifiée ou présentée comme due à un coronavirus, ce n’est qu’un écran de fumée pour continuer à tromper les gens.

Kla.TV : Ricardo, cela soulève une question, excusez-moi. Les gens qui n’ont pas été vaccinés, nous n’allons pas appeler cela un vaccin, évidemment. Ils n’ont pas été vaccinés, ni injectés, ni graphénisés, mais ils ont quand même contracté le Covid, comment expliquez-vous cela ?

M. Delgado : Nous devons ici faire une parenthèse. Quand on parle de Covid, on parle d’inflammations sur tout le corps. Le vrai Covid, ce sont des inflammations sur tout le corps, une dyspnée, des difficultés respiratoires, car vous avez des niveaux de saturation bien en dessous de la normale, c’est plutôt une pneumonie bilatérale et une tempête de cytokines. Pour le reste, il y a des symptômes mais tout n’est pas équivalent à un test PCR positif, un autre outil qui a été utilisé pour poursuivre cette tromperie massive en faisant croire que tout est positif.

Kla.TV : Oui, il semble que tout ait donné un résultat positif pour le Covid, y compris la grippe – il semble que nous n’ayons pas entendu parler de cas de personnes qui avaient seulement la grippe.

M. Delgado : Cela faisait longtemps que nous ne pouvions pas croire à ce qui venait des médias, ni aux chiffres ni aux statistiques, probablement tous manipulés. Ici, 47 000 euros ont été payés pour chaque admission et pour chaque décès Covid dans les hôpitaux. Par conséquent, des tentatives ont été faites auprès des patients atteints de pneumonie de faire jusqu’à 15 et 16 PCR, pour tenter de les rendre positifs. Finalement, ce qu’ils ont choisi, c’est de le faire avec de l’eau du robinet, ils obtiennent ainsi leur précieux résultat positif, très facilement. Idem pour le test antigénique. Le test d’antigène déclenche l’immunoglobuline ; nous pourrions dire que c’est plus proche de la réalité, mais le fait est que le graphène déclenche les immunoglobulines à l’intérieur du corps. Ce qu’ils font, c’est que si vous introduisez de la ciguë ou n’importe quel produit toxique, les anticorps neutralisants agiront comme s’il s’agissait d’un pathogène biologique alors que c’est un composé chimique toxique. Donc, ça déclenche les immunoglobulines, vous avez des anticorps neutralisants, et ils vous disent que le vaccin fonctionne. Bien sûr, quand le corps arrive à éliminer ça, au bout de quelques mois, ils vous disent que vous n’avez plus d’anticorps, il faut que vous preniez la deuxième dose, ou la troisième, ou la quatrième, etc.

Kla.TV : C’est-à-dire que le graphène se dégrade d’une certaine manière, puis retourne à la charge, afin que cette énergie puisse continuer à s’accumuler dans l’organisme ?

M. Delgado : Exactement. En fait, la seule façon d’échapper aux doses est de se retrouver aux soins intensifs de l’hôpital, ou au cimetière, ce que nous voyons malheureusement avec d’innombrables proches, très proches d’ailleurs, qui n’ont pas voulu croire disent-ils, mais il ne s’agit pas de croire ! Nous avons déjà démontré et mis en évidence tout ce qu’il y a à l’intérieur des vaccins. Et aussi une autre chose, le graphène n’a pas seulement été injecté ! Rappelez-vous que tous les éléments de la prétendue protection ou prévention de la maladie contenaient du graphène : les masques contenaient du graphène et ils ont été rappelés. Le FPP2 en contient toujours. (Les gels hydro-alcooliques avec lesquels les enfants se lavaient compulsivement les mains, contiennent également des dispersions d’oxyde de graphène. Les tests PCR sont fabriqués par Nanographic, une entreprise qui commercialise et produit du graphène, les tests antigéniques également. Autrement dit, cela a été introduit partout, également par inhalation. Il y a des gens qui ont présenté le phénomène magnétique sur la poitrine alors qu’ils n’avaient pas été vaccinés, et nous ne doutons pas qu’ils aient également été fumigés. Il existe des brevets pour la dispersion de l’oxyde de graphène dans les biocides, les fongicides, dans les produits phytosanitaires, les pesticides, ainsi que pour améliorer la combustion du kérosène liquide brûlé dans les avions. Donc, ils l’ont probablement fumigé…

Kla.TV : A travers ces traînées qu’on voit parfois dans le ciel, qu’on ne connaît pas, je veux dire, on pense que c’est de l’évaporation, etc. Mais en réalité, bien sûr, quand elles persistent, quand elles semblent durer plus longtemps et, à partir de ce moment-là, il faut évidemment se méfier.

M. Delgado : Bien sûr. En fait, ce ne sont pas de traînées de condensation de vapeur d’eau normales provenant d’avions qui disparaissent immédiatement. Elles durent jusqu’au lendemain, et tout ce matériau, ainsi que les métaux lourds génèrent également des pneumopathies, tombent au sol et s’incrustent dans les poumons des patients.

Kla.TV : Eh bien, Ricardo, qu’en est-il des autres vaccins prévus au calendrier, peut-on leur faire confiance en général ou bien…?

M. Delgado : Non. Depuis 2018, avec l’introduction de cette technologie, nous avons découvert qu’elle n’affecte pas seulement le vaccin contre le Covid. Nous avons déjà examiné le vaccin contre la grippe. Hier, ils nous ont envoyé plus d’images, et ces objets ressemblant à du graphène, non identifiés dans ce cas, mais à coup sûr dans les vaccins Covid ; nous avons la caractéristique de ceux du Covid, et une fois que nous connaissons l’image, le relief que forme le graphène, la façon dont il se replie sur lui-même, il est très probable qu’il est inclus dans le calendrier prévu des vaccins, car, en plus, le phénomène magnétique s’observe après la piqûre, même dans le vaccin des enfants. Le vaccin antipneumococcique, Pneumovax, je pense qu’il s’appelle Prevenar 13, Vaxigrip qui est un vaccin anti-grippe, tous ces vaccins contiennent également du graphène. Il s’agit probablement d’une nanotechnologie appliquée aux flacons. Ainsi, depuis 2018 jusqu’à ce jour, le conseil, ou la recommandation de la « Quinta Columna » est surtout de ne rien se faire injecter.

Kla.TV : D’accord. Ces personnes qui se sont conformées aux deux premiers vaccins, puis aux rappels et qui ont encore des doutes, je ne sais pas s’ils ont pris les trois vaccins ou s’ils vont continuer à se faire vacciner, que diriez-vous à ces gens ?

M. Delgado : Eh bien, ils ont eu beaucoup de chance. Parce que la semaine dernière, je parlais à quelqu’un qui m’a dit qu’il avait reçu deux doses, une de Pfizer et une de Moderna, et qu’il était vivant. Avant-hier encore, nous sommes allés aux obsèques de cette personne. Mort subite et immédiate à l’âge de 36 ans. Encore un autre cas, 34 ans, un garçon qui a eu un cancer fulgurant. Rappelons que le graphène augmente les dommages causés par les radiations et que l’un des effets des radiations est le cancer. Ils arrivent en masse. Il se peut qu’une personne reçoive trois doses, et qu’absolument rien ne lui arrive car elle vit dans un environnement où elle n’a pas de radiations cumulées ; par conséquent, elle n’absorbera pas ce rayonnement. C’est l’arme parfaite pour tuer. Cependant, une personne qui reçoit une dose unique et qui est impactée par des radiations parce qu’elle a une antenne téléphonique et que la durée, disons, d’exposition, est très longue, développera très probablement soit une mort subite comme conséquence de la décharge de graphène dans le cœur, soit une péricardite, une myocardite lorsqu’il enflamme ce tissu, ou une mort subite, toujours en raison de la même conséquence. Ou le fameux Covid long à moyen terme, surtout lorsqu’il commence à l’éliminer par les poumons. Au bout d’un mois et demi, ce matériel commence à être éliminé par les poumons, certaines enzymes entrent en jeu, comme la myéloperoxydase qui tentent de le dégrader, mais, comme il a été irradié alors qu’il était dans les poumons, il génère des inflammations pulmonaires appelées « pneumonie bilatérale ».

Kla.TV : C’est-à-dire qu’avec la deuxième et la troisième dose, ce qui se passe en réalité, c’est que ces gens accumulent des radiations, et il arrive un moment où, s’ils reçoivent une irradiation très aigüe, très forte, très intense, disons, c’est là, j’imagine, que les problèmes commencent. Ils ne pourront peut-être pas réagir à temps car il semble que cela provoque des arythmies ?

M. Delgado : Foudroyant, c’est foudroyant, oui. Faire du sport, c’est foudroyant car, quand on fait du sport, c’est le cœur qui entre en jeu, et les impulsions électriques cardiaques sont beaucoup plus élevées, alors, comme le graphène est super conducteur, il va y être dirigé. Et une fois là, lorsque vous aurez terminé l’activité, cela générera un choc arythmique mortel ; même avec le défibrillateur, ils ne ramènent pas les gens, idem pour des jeunes dans la vingtaine, des ados, des trentenaires, des sportifs. Il absorbe aussi tous types de rayonnements : les ultrasons, les infrasons, etc… C’est donc la roulette russe. Il n’y a rien dans le vaccin qui mène à développer une quelconque forme d’immunité, bien au contraire ; c’est juste un composé chimique toxique et une micro technologie pour en plus, étiqueter les gens.

Kla.TV : D’accord, et à partir de là, pour ces personnes, comme je vous l’ai dit, les deuxième ou troisième doses qu’ils appellent le rappel, puis la pathologie qu’ils appellent le Covid long, ça semble vouloir dire Covid persistant ou quelque chose comme ça ?

M. Delgado : C’est ça, du point de vue biologique, nous ne connaissions pas d’agent biologique qui était persistant. Je veux dire, la grippe commune est un autre type de coronavirus, comme ils disent, même si l’oxyde de graphène génère l’effet coronavirus, ils tirent probablement leur nom de là, ils ont dit, “disons que c’est un coronavirus”. N’importe quel coronavirus, soit met fin à la vie de l’hôte, soit l’hôte développe une immunité contre lui, point final. Il n’y a pas de séquelles à vie. Ce qui a des séquelles à vie, ce sont les radiations, et c’est un syndrome, cela devient un syndrome d’irradiation chronique qui figure dans la littérature médico-scientifique depuis plus de 70 ans. Ce n’est pas nouveau.

Kla.TV : Très bien, alors, par exemple, au sein d’une même famille, il peut y avoir des membres qui ont développé ce Covid long, ou le Covid pour lui donner un nom d’une manière générale, je suppose que c’est l’affaire de chacun de savoir comment cela est arrivé.

M. Delgado : Bien sûr. Cela dépend du rayonnement que vous absorbez, mais aussi des variables intrinsèques de l’individu lui-même tels les niveaux de glutathion. Le glutathion est un antioxydant qui agit précisément contre l’oxyde de graphène car celui-ci génère des radicaux libres. Ainsi, s’il génère des radicaux libres, il oxydera toutes sortes de molécules, provoquant leur mort, et d’autre part, le glutathion endogène, c’est la raison pour laquelle le NAC agit contre le Covid, parce que c’est un précurseur du glutathion ou vitamine D, c’est pour ça que les patients Covid ont de faibles niveaux en vitamine D, parce qu’ils épuisent leurs ressources en essayant de dégrader l’action de l’oxyde de graphène. C’est pourquoi les personnes vaccinées ou celles qui ont effectivement le Covid sont si fatiguées ! Parce que le corps, le système immunitaire travaille constamment, essayant de dégrader l’action du toxique. Donc plus de glutathion chez les jeunes pas trop âgés, beaucoup de glutathion, de sorte qu’ils auront plus de difficulté à avoir réellement le Covid 19. À partir de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent, c’est pour ça que ça les a affectés, mais maintenant, ça touche aussi les jeunes s’ils sont vaccinés.

Kla.TV : Comment expliquez-vous qu’au début de la pandémie, je me souviens que même les autopsies étaient interdites dans les hôpitaux, comment expliquez-vous que c’était même accepté dans les hôpitaux, que les autopsies ne soient pas pratiquées, qu’ils devaient être incinérés directement ? J’ai entendu, je ne sais pas si c’est vrai que certains médecins, je pense italiens, je ne sais pas s’ils étaient du nord de l’Italie, de Milan, qu’ils sont allés contre cette règle. Qu’ont-ils découvert ? Vous pourriez peut-être mieux m’expliquer.

M. Delgado : Oui, Pascual Baco était le médecin, ou l’équipe médicale, qui a ignoré les directives et protocoles génocidaires de l’Organisation mondiale de la santé de l’époque et a pratiqué des autopsies. C’est incompréhensible. La seule explication était qu’on voulait cacher l’arme du crime. Aujourd’hui, si on pratique l’autopsie d’un vrai patient Covid victime d’un syndrome d’irradiation aiguë, on trouvera, et d’ailleurs c’est déjà le cas, de l’oxyde de graphène. Nous avons également trouvé de l’oxyde de graphène dans le sang des personnes injectées. Les équipes allemandes l’ont confirmé, de même que nous avons vu ces images de micro-feuillets d’oxyde de graphène dans tout le corps, après la piqûre. Ensuite, nous avons eu l’occasion de parler à différentes reprises avec Pascual Vasco, ce médecin, quand ils ont fait les autopsies, ils ont découvert que ce qu’ils appelaient Covid était un phénomène thrombotique, ça coagulait le sang, mais c’est le graphène qui fait ça ! Le graphène active la coagulation sanguine. En fait, il est destiné à être utilisé comme traitement antiplaquettaire, n’est-ce pas ? Il provoque également une réduction des plaquettes, c’est-à-dire tout ce qu’ils ont dit que le vaccin faisait au départ, bien sûr, parce qu’il en contient.

Kla.TV : Ça ne les intéressait pas, je suppose, à découvrir ce qu’ils faisaient, ou qu’ils appliquaient un protocole, j’imagine très faux, parce que cela semble être…

M. Delgado : En fait, on nous a dit de ne pas utiliser l’ibuprofène, qui est un anti-inflammatoire, alors que ce que l’ibuprofène sert précisément à prévenir, c’est l’inflammation provoquée par le Covid, en tant que premier signe de la maladie. De plus, le paracétamol est toujours administré, et le paracétamol, c’est le contraire, il est contre-indiqué car c’est l’antidote de la N-acétylcystéine, qui serait efficace.

Kla.TV : Donc, l’un est un oxydant et l’autre est un antioxydant.

M. Delgado : Exactement. Exactement…

Kla.TV : D’accord. Mis à part l’oxyde de graphène, qu’a-t-on trouvé d’autre dans la composition ou les ingrédients du prétendu vaccin ?

M. Delgado : Eh bien, le Dr Campra a commencé à identifier des modèles artificiels. Par la suite, il a lui-même publié un autre rapport. La « Quinta Columna » a publié un autre rapport daté du 14 janvier de l’année 2022 avec des échantillons très, très, très clairs de microcircuits ; nous avons même identifié ces modèles en comparant avec la littérature scientifique, avec les micro-rectennes, qui sont des ponts redresseurs à diodes, qui font passer du courant alternatif en courant continu. Nous rappelons qu’avec un multimètre, dans la tête des inoculés, nous pouvions mesurer des courants alternatifs allant jusqu’à 0,3 et 0,4 volts. Mais pour que cette micro-technologie fonctionne, cela se fait en courant continu. Nous avons donc découvert ces redresseurs de courant, nous avons trouvé ces formats de micro-rectennes, également des micro-antennes, également le cryptage des communications Codex, des supports logiques, des micro-routeurs qui émettent des adresses MAC (media access control), et n’importe qui peut vérifier cela maintenant. Toute personne vaccinée peut par exemple télécharger l’application Scanner Bluetooth et activer le GPS, puis le Bluetooth, et elle vérifiera que toutes les personnes vaccinées autour d’elle émettent une adresse MAC qui ne correspond à aucun fabricant d’aucun appareil qu’ils ont chez eux. Nous parlons donc de tous les individus qui ont été étiquetés. Nous savons que ce qui est émis, ou ce qu’ils émettent, ce sont au moins des données biomédicales telles la fréquence cardiaque et l’indice glycémique. Mais ils peuvent aussi émettre des signaux vers vous, rappelez-vous que tous ceux qui possèdent un routeur….

Kla.TV : Donc, cela va dans les deux sens.

M. Delgado : Dans deux directions. Exactement. Si je veux voir mes voisins, cela s’affiche toujours sur mon téléphone ou lorsque la voisine vaccinée arrive, je sais quand elle est là et quand elle n’est pas là.

Kla.TV : Peut-il y avoir une personne non vaccinée, ou au moins… ok.

M. Delgado : Voici ma télévision d’un côté, et tous les numéros qui apparaissent sont des adresses MAC, des codes MAC de personnes vaccinées. Nous pouvons même cliquer à l’intérieur de l’une d’elles et connaître la distance approximative qui nous sépare.

Kla.TV : Donc ces adresses sont censées se trouver dans votre environnement actuel ou dans votre quartier ? Et peut-être auriez-vous l’audace de leur demander s’ils ont été vaccinés ?

M. Delgado : Oui, effectivement. Ce sont des adresses dynamiques. Elles changent toutes les 50 à 52 secondes. Rappelons que dans chaque dose, nous trouvons des dizaines de ces microcircuits dans une seule gouttelette et qu’avec une qualité de grossissement de 100 à 120 grossissements, c’est très clair. Autrement dit, ils ont marqué tous les individus. Mais ils les ont également marqués au niveau intracorporel puis intraneuronal et c’est la chose la plus dangereuse. Il existe de nombreux articles scientifiques. Ils sont tous rassemblés dans les recherches de la « Quinta Columna ». L’oxyde de graphène traverse la barrière hémato-encéphalique qui sépare le cerveau de l’extérieur et le protège des agents pathogènes et des produits chimiques. On comprend désormais pourquoi les tests PCR passent tous par le nez, pourquoi les patchs en oxyde de graphène réduit pour les diabétiques qui souhaitent ne plus se faire piquer et remplacer l’aiguille par ceux-ci. Tout passe par la tête. Le but de toute cette opération est le contrôle comportemental dans le domaine des neurosciences de l’ensemble de la population mondiale. Lorsque l’oxyde de graphène fait moins de 45 nanomètres de long, il va traverser la barrière hémato-encéphalique et se déposer dans les neurones avec lesquels il a beaucoup d’affinité car il a des impulsions électriques et c’est un supraconducteur. Cet oxyde de graphène remplace le réseau neuronal naturel par un réseau neuronal artificiel. La personne est donc parasitée numériquement. Elle peut être connectée à un cloud ou au Meta comme l’appelle Mark Zuckerberg, et être contrôlée grâce à une intelligence artificielle. Cet oxyde de graphène comme nous l’avons dit est magnétique, c’est un support magnétique. Il a donc une capacité de mémoire – flash ! Les souvenirs peuvent être effacés, l’activité neuronale est enregistrée sous forme d’impulsions électriques et surveillée sur un écran de manière à ce que nous puissions même savoir ce que pense l’individu. Vous pouvez effacer des souvenirs et insérer des émotions, insérer des sentiments, insérer des pensées, brisant la synapse neuronale, ce que fait l’oxyde de graphène, et tout cela à distance et sans fil en utilisant bien sûr la technologie 5G. Nous comprenons maintenant pourquoi le président chilien Sebastián Piñeira, lors de l’annonce de la 5G, a parlé d’insérer des émotions et des pensées en même temps qu’il proposait la loi sur les neuro-droits avant la réforme constitutionnelle au Chili. Cela se fait d’ailleurs dans tous les pays. Si les gens ne sont pas conscients de ce qui se passe, je le répète : l’espèce humaine telle que nous la connaissons est perdue et va s’éteindre pour devenir un automate dirigé par une intelligence artificielle selon le bon vouloir des 4 ou 5 du Forum de Davos. Elon Musk, Mark Zuckerberg, Klaus Schwab, etc.

Kla.TV : J’imagine que le graphène peut influencer nos décisions à un moment donné, nos pensées comme ils le souhaitent et nous incliner dans un sens ou dans l’autre selon le sujet qui les intéresse.

M. Delgado : Cela surprendrait-il quelqu’un s’ils essayaient réellement de nous conditionner à travers les médias, d’acheter telle ou telle chose, de voter pour tel ou tel président, etc. ; s’ils pouvaient le faire avec la technologie et par injection… C’est ce qui se fait actuellement alors que les gens n’en n’ont pas conscience. Cela se fait de manière sournoise. Et oui, à ma connaissance, on peut rendre l’individu ou le groupe d’individus ou la population en général plus docile, plus malléable. On peut les rendre plus dépressifs, plus souples, plus malléables, comme je l’ai dit, plus agressifs. Cela se fait en brisant les synapses neuronales et en excitant certaines zones du cerveau qu’ils connaissent très bien. Rappelons que le Graphene Flagship, une organisation européenne, a dépensé depuis 2013 deux milliards d’euros pour le graphène et 1 000 millions d’euros supplémentaires pour la connaissance du cerveau. Il y a toutes les universités là-bas, dont beaucoup en Espagne. L’Espagne est l’un des pays qui participe le plus, également avec la contribution du neuroscientifique Rafael Yuste, qui a rencontré Obama en 2015 et a donné la clé du cerveau de pratiquement toute l’humanité à l’élite psychopathe de l’Agenda 2030.

Kla.TV : Existe-t-il également une possibilité que la nanotechnologie dont vous parlez et le graphène puissent nous être donnés par d’autres moyens que par injection ? Surtout la nanotechnologie car même si le graphène peut se dégrader à un moment donné en fonction, comme vous le dites, du niveau de glutathion de chaque individu, il y a peut-être cette partie dont je sais qu’elle ne se dégrade pas au sein de l’organisme humain.

M. Delgado : Les nouveaux cachets auront très probablement également un support magnétique et auront la nanotechnologie de l’oxyde de graphène, de nouveaux cachets comme nouveau traitement qu’ils avaient déjà annoncé en 2018 et qui auront probablement également des microcircuits. Les aiguilles qui ont été éliminées chez les diabétiques qui ont alors eu un grand espoir, ont été remplacées par un patch d’oxyde de graphène réduit à l’intérieur de la joue, soit l’endroit le plus proche du cerveau. La majorité de la population n’est pas consciente de cette folie. Nous devons donc réveiller tout le monde et leur faire comprendre de quoi il s’agit. Et maintenant, nous constatons que ceux qui ont été piqués ne le feront probablement plus parce qu’ils ont vu ce qui se passe autour d’eux et la symptomatologie qu’ils ont acquise, s’ils peuvent encore être en vie pour raconter l’histoire. Mais disons que la fierté humaine, le fait de ne pas reconnaître et de ne pas être honnête, qui se mêle à la vertu de l’intelligence, c’est déjà beaucoup demander à un être humain aujourd’hui, et le résultat fait que ces gens se taisent et ne peuvent pas alerter les personnes autour d’eux. Ce que vous voyons est très triste, très triste.

Kla.TV : Vous m’avez parlé du président du Chili, je ne me souviens pas du nom que vous m’avez donné.

M. Delgado : Sebastian Piñeira.

Kla.TV : Sebastian Piñeira, oui, exactement. Ils disent avoir adopté une loi sur les neuro-droits et la protection des mutants mais ai-je bien lu ? De quoi s’agit-il exactement ?

M. Delgado : Eh bien, quiconque en a conscience, si cette information était diffusée à la télévision, ce qui aurait été une information publique, les gens commenceraient probablement à faire un lien avec tout ce que nous avons fait ici directement avec l’analyse des vaccins. Mais nous parlons avec évidence et je répète encore une fois que tout ce que nous disons ici est entièrement démontré et prouvé. Quiconque souhaite obtenir des preuves peut se rendre sur La Quinta Columna.net. ou nous écouter tous les soirs sur notre chaîne Telegram. Peut-on se demander si nos pensées et nos sentiments sont en danger ? Eh bien oui! Les neurosciences et les nanotechnologies ont progressé considérablement dans le dos de la société civile. Il est désormais possible de surveiller ce que pense une personne en fonction des signaux qu’elle émet. Ce que fait le graphène, c’est qu’il amplifie ces signaux que les microcircuits captent et surveillent. Mais pas seulement ! C’est bidirectionnel. D’une part, nous pouvons recevoir les signaux des individus vaccinés, comme illustré ici, mais nous pouvons également leur envoyer des signaux. Lorsque ces émissions de signaux sont dans la tête, lorsque l’oxyde de graphène est fixé dans les neurones, ils peuvent modifier le comportement des synapses neuronales afin que nous puissions faire de l’individu un automate contrôlable, nous pouvons mettre en échec le cerveau d’une personne, ou d’un groupe ou d’une communauté entière au gré d’une intelligence artificielle qui logiquement programme quelqu’un. Tout cela peut être fait ! Et ils ont utilisé l’ignorance et le manque de connaissances de 99 % de la population, y compris de la communauté médicale pour introduire la nanotechnologie et le graphène, bien que l’effet collatéral de l’introduction du graphène accroît les dommages causés par les ondes qu’ils ont fait passer pour le coronavirus et qu’ils ont appelé Covid-19. C’est la chose la plus importante qu’on puisse dire en ce moment. Il n’y a pas d’informations plus importantes que celles que nous donnons ici parce que l’avenir de l’espèce humaine tout entière dans toute l’histoire de l’humanité dépend de cette information. En ce moment, c’est un cauchemar et tous ceux qui en sont conscients regardent au microscope et le vérifient par eux-mêmes. Probablement, dans quelques jours, nous aurons une réunion avec plus de 100 médecins qui vont regarder au microscope. Pouvons-nous dire si cela servira à quelque chose ? Et bien probablement pour sauver au moins ces familles, ce groupe de familles et leur faire vraiment prendre conscience de ce qui se passe. Mais c’est fou, tellement odieux et dégradant et humiliant pour l’être humain qu’on n’arrive tout simplement pas à le croire.

Kla.TV : Si les vaccinés faisaient une prise de sang, que trouveraient-ils ?

M. Delgado : Eh bien, s’ils font un test sanguin, par exemple un D-dimère, ils verront une implication de la protéine fibrine en raison du déclenchement de la coagulation très élevée, ce qui est très inquiétant. Et cela peut être fait par n’importe qui, c’est un test qui coûte seize euros en pharmacie. Mais si vous effectuez une analyse au microscope optique, vous découvrirez ce matériau, l’oxyde de graphène ou micro-oxyde de graphène dans le sang. Par conséquent, nous verrons les globules rouges qui sont bien visibles au microscope optique et les érythrocytes pratiquement déformés, détruits, amorphes et aussi entassés. Rappelons que le graphène renforce l’irradiation, et l’un des effets des irradiations est de générer l’effet rouleau, qui est la coagulation du sang par l’empilement de globules rouges. Nous allons donc voir des thrombus, cela génère des thrombus, et si vous avez des thrombus, vous avez toutes sortes d’accidents cardio-cérébrovasculaires. Vous avez des embolies cérébrales et pulmonaires, vous avez des hémorragies dues au colmatage d’une artère quelque part et la pression monte ailleurs, vous avez des accidents vasculaires cérébraux, vous avez des crises cardiaques, vous avez une ischémie, toutes sortes de manque d’irrigation sanguine, c’est en fait ce que nous constatons.

Kla.TV : À tous ceux qui ne croient pas avoir été inoculés avec du graphène et des nanotechnologies, que diriez-vous ?

M. Delgado : Eh bien, je comprends tout d’abord qu’il existe un principe que nous étudions également en psychologie, qui est le principe du déni et que surtout, chaque personne a littéralement peur, car c’est un élément instinctif de la survie de l’être humain que de reconnaître qu’il a commis une erreur. Non seulement cela, mais c’est une sorte de protection, sachant qu’ils ont probablement envoyé leurs parents à la mort, et aussi qu’ils avaient l’intention de le faire avec leurs enfants, s’ils ne l’ont pas déjà fait faire, avec pour le moins, beaucoup de problèmes concernant tout ce que nous savons. Toutes ces informations vont les démolir d’un seul coup, vont démolir toutes les fondations qu’ils ont construites tout au long de leurs trente, quarante ou cinquante ans. Pourquoi ? Parce qu’auparavant, ils croyaient aux institutions, tout le monde, moi y compris, croyait aux institutions. Nous n’avions aucune raison de penser à ce qui se faisait réellement. Mais le doute et la suspicion nous ont fait analyser rapidement et réaliser qu’il y a eu un changement depuis ce qu’on appelle l’Agenda 2030. Et quand ils parlent de développement durable de la société, ils entendent le maintenir en éliminant littéralement les gens et contrôler le comportement de ceux qui restent. La quatrième révolution industrielle. Je leur dirais de regarder au microscope. Ou sinon, d’ici, depuis la Cinquième Colonne, nous leur proposons de venir chez nous s’ils veulent, pour voir un, deux, trois, dix vaccins. Autant qu’ils voudront. Tous les vaccins que nous avons regardés et recréés en Nouvelle-Zélande, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Argentine et au Chili ont tous la même composition !

Kla.TV : Bien sûr, j’ai du mal à croire que tant de médecins qui injectent des vaccins et qui savent également qu’il s’agit là d’un vaccin expérimental…ils devraient avoir un doute, ils sont médecins et ils font une expérience. Donc, si je donne ce vaccin à cette personne, peut-être que ça ne fonctionnera pas ou peut-être qu’elle aura pour le moins des effets secondaires. Et ce qu’on ne comprend pas, c’est qu’il n’y a pas plus de protestations dès le départ, pas plus de refus de proposer quelque chose d’expérimental. C’est-à-dire sans aborder la question de ce qui est dedans ou de ce qui n’est pas dedans alors qu’un médecin prête le serment d’Hippocrate. Comment cela n’aurait-il pas pu être envisagé dès le début ? Après tout, il s’agit d’une expérience!

M. Delgado : Eh bien, ils ne le recommandent pas aujourd’hui. Il n’est plus recommandé par tant de gens parce qu’ils en ont conscience. Dans notre pays, les 4 premiers médecins qui l’ont recommandé sont décédés. Ils ne sont plus là. Chez nous, nous enterrons un ou deux médecins tous les deux jours. Il y avait des jeunes, des infirmières, des médecins, des chefs de service de chirurgie, etc. Je me souviens de certains noms de ceux qui sont décédés. C’est toujours pareil. Les médecins ont également été payés. Les médecins sont répertoriés dans les politiques de transparence de Pfizer et de Moderna car ils ont reçu une grande somme d’argent par l’intermédiaire de l’organisation à laquelle ils appartiennent, que ce soit le service de santé andalou ou le service public de santé ou individuellement. Ils ont reçu de l’argent pour avoir recommandé cela ! Je pense que c’est, pour eux, une expérimentation de voir à quel point la biologie humaine résiste. Je vais être clair, regardez le degré de dégradation auquel ils ont dévalorisé l’être humain et l’énorme tromperie à laquelle ils ont soumis la population entière. Ils ont dit du vaccin qu’il pouvait provoquer le développement de la maladie. Vous comprendrez pourquoi ce sont justement les vaccinés qui occupent 90 % des unités de soin intensif et les autres 10 % sont dans les cimetières. Ils ont dit que, comme ils ont vacciné beaucoup de gens, c’est normal qu’ils ne se sentent pas bien. Comment ça, c’est normal ? Ceux qui ont reçu trois doses s’entendent dire : « Il vous manque la quatrième ». De celui qui est mort avec la deuxième, ils ont dit, “il aurait dû prendre la troisième”.

Kla.TV : Bien sûr, il y a toujours une excuse pour continuer à se faire vacciner et continuer à se soumettre au plan 2030 en fin de compte, car c’est celui-là qui semble, d’une manière ou d’une autre, fixer le cap. Au niveau politique, nous savons déjà que personne ne s’est prononcé ou du moins, presque personne ne s’est prononcé sur ces questions de contenu ou d’analyse des vaccins, etc., surtout lorsqu’il y a un pourcentage de la population qui a crié à haute voix après le « Rapport Campra », comment sommes-nous arrivés dans cette situation ? Est-ce possible de porter plainte devant un tribunal qui la prendra au sérieux et qui lui donnera réellement suite ?

M. Delgado : Nous nous proposons chaque jour, le Dr Sevillano, le Dr Campra et moi-même, pour aller au tribunal lorsque nous sommes appelés par le parquet ou par un juge ou magistrat pour témoigner. Nous avons déjà déposé 550 plaintes devant les tribunaux, au Commissariat de Police Nationale qui a pris l’ordre et qui de toute façon, y est obligé, et à la caserne de la Garde Civile. Certaines plaintes ont été portées devant la Haute Cour de Justice, plus précisément ici en Andalousie. Et il y en a qui progressent, mais très légèrement. C’est-à-dire que normalement les juges la gardent dans le tiroir, et quand ils font un appel à témoigner, ils ne l’ont même pas lue. Il est probable qu’ils aient pour slogan de garder le silence sur tout ce qui se passe ici. Au Royaume-Uni, les gens bénéficient même d’une traçabilité et d’une consignation. Ils ont également découvert le graphène et la microtechnologie dans les vaccins et pourtant ils ont particulièrement du mal à faire reconnaître leur plainte ou à ouvrir un procès alors qu’il est démontré et prouvé que tout le monde est tué et que ça n’a rien à voir avec une pandémie ou un coronavirus. Et c’est pourquoi ils savent quand les deuxième, troisième, quatrième et cinquième vagues apparaissent parce qu’ils doivent simplement stimuler la qualité de fréquence du matériel qu’ils contiennent. Et maintenant, ils vous le disent, et il y aura bien sûr d’autres pandémies. Lorsqu’ils excitent de manière technologique ce matériau à l’intérieur, ils peuvent créer et générer toutes les épidémies qu’ils souhaitent, variants de sous-variants, comme ils veulent. Et ils diront encore une fois aux gens qu’il s’agit d’un coronavirus ou d’un variant Omicron ou Deltacron !

Kla.TV : Eh bien Ricardo, pour conclure : quelles sont nos possibilités, nous citoyens ordinaires, à la base, je ne sais pas comment l’appeler, pour contrecarrer de manière efficace toute cette planification macabre actuellement en cours?

M. Delgado : Eh bien, la vérité est que c’est extrêmement difficile. Nous nous sommes arrangés pour que de nombreuses personnes se réunissent demain. Nous avons organisé des groupes par provinces et les gens apprennent à se connaître car c’est également bien de faire monter un peu la vibration, compte tenu de la torture psychologique quotidienne par les médias officiels qui servent le forum économique mondial à travers Vanguard et Blackrock. Certains disent : Comment se fait-il que tous les médias disent la même chose ? Parce que tous les médias sont dirigés par le même gars, c’est aussi simple que ça! Sauf pour les médias alternatifs comme Kla.tv et très peu d’autres. Nous en sommes très reconnaissants. Celui qui veut chercher des informations se tourne donc logiquement vers les groupes d’information alternatifs. Nous devons faire quelque chose d’important. Il y a des actions collectives comme des entretiens comme celui que nous faisons actuellement, des plaintes. Nous avons épuisé toutes les voies d’un État de droit démocratique. Mais sommes-nous vraiment dans un Etat de droit démocratique ? Ou est-ce une tyrannie ? Quoi qu’il en soit, que pouvons-nous dire que les gens ne savent pas déjà ? Même ceux qui ont tout gobé. C’est très difficile. Nous devons rechercher une formule commune afin d’une part d’augmenter la masse critique plus que ce que nous faisons actuellement, mais ces gens sont allés jusqu’à payer des personnes pour qu’en tant que porte-parole dans les médias ils mentent et continuent de tromper une grande partie de la population. Une tromperie qui n’est pas une tromperie idéologique ou politique, il s’agit d’une tromperie majeure qui conduit la personne et sa famille à la mort. C’est ce que nous constatons. C’est que cette tromperie n’est pas n’importe quelle tromperie, c’est une tromperie qui mène à la mort.

Kla.TV : J’ai entendu dire qu’au Royaume-Uni, ils semblent avoir fait une analyse similaire à celle effectuée par le Dr. Campra, mais j’ai lu qu’elle était même légalement protégée.

M. Delgado : … sous surveillance légale. Parce que nous avons aussi la traçabilité et la consignation. Les gens qui ont produit la fiole… nous sommes prêts à témoigner et à jurer la vérité devant un tribunal. Mais là-bas, ils ont la consignation, c’est-à-dire qu’il y a un notaire qui a suivi toutes les traces. … Pourtant, ils auraient dénoncé cela, mais pensez-vous que cela changera quelque chose ? Parce que ce que nous voyons est le quatrième vaccin, le cinquième de la grippe, qui sera le sixième parce qu’il comporte également ce matériau, c’est-à-dire que c’est ce qui est prévu, et quand nous introduisons un matériau de façon globale et simultanée dans la population mondiale entière et que nous l’irradions, cela génère une épidémie, une pandémie, tout ce qu’ils veulent. C’est aussi clair que ça.

Kla.TV : Eh bien, j’aimerais que vous donniez un peu d’espoir avec tout ce que vous racontez et que vous voyiez une lumière au bout du tunnel ou quoi que ce soit d’autre. Si c’est une lumière et qu’elle nous mène à un port sûr, alors nous accueillerions favorablement une idée qui pourrait, je ne sais pas, que vous pourriez transmettre et qui pourrait être vraiment efficace comme phrase finale.

M. Delgado : À l’heure actuelle, nous devons trouver un moyen de garder espoir dans cette situation, ce qui est très difficile parce que cette technocratie contrôle pratiquement tout, les institutions politiques, judiciaires, financières, de communication, médiatiques, etc. Mais peut-être qu’une solution serait de créer une société alternative de personnes conscientes qui ne croient à absolument plus rien de ce qui est régurgité par les médias officiels. Voyons s’ils nous laissent faire, augmenter la masse critique, être entre nous, rester confiants et tenter de convaincre. Ne pas essayer de convaincre pour convaincre, c’est-à-dire que les informations de La Quinta Columna ne tentent jamais de convaincre qui que ce soit, il faut se convaincre soi-même. On dit bien sûr « regardez dans le microscope ». N’importe quel microscope normal fera l’affaire, s’il y a une trace de vaccin, regardez au microscope et vous êtes censés ne rien voir… On nous dit que les nanoparticules lipidiques de taille nanométrique ne sont visibles qu’au microscope électronique, et bien non ! Là, au microscope optique, vous pouvez tout voir, à la fois le graphène et la microtechnologie. Vérifiez si une adresse MAC est émettrice et si elle a marqué quelqu’un comme du bétail, comme du bétail ! directement depuis votre téléphone, de même avec vos amis. Nous ne pouvons pas faire grand-chose de plus. Il s’agit actuellement de résister et d’aller vivre en milieu rural loin de toutes les ondes électromagnétiques.

Kla.TV : Eh bien, je pense que toutes les questions auxquelles vous avez répondu ont été assez intéressantes et nous n’avons plus de questions pour le moment. Il y a beaucoup d’informations que nous devons diffuser en ce moment et soyez assuré que Kla.tv se chargera de diffuser ce message. Merci d’avoir accepté cette interview, merci beaucoup, et espérons que si à un moment donné dans le futur nous pouvons en avoir une deuxième, eh bien, nous espérons que nous pourrons compter sur vous.

M. Delgado : Il y a sûrement plus d’informations et la capacité de les développer, car beaucoup d’informations doivent être données progressivement pour que tout le monde puisse les assimiler. Et merci aussi Angel et un grand merci à cette production de Kla.tv de m’avoir donné l’opportunité de diffuser le travail de recherche pionnier de La Quinta Columna dans le monde.

Kla.TV : Merci beaucoup, Ricardo, merci beaucoup.

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Source : Kla.TV


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